Mont Mounier (2817m) en boucle par la Crête du Pré Picas et les sources du Cians
- Randonnée
- Mercantour / Alpes-Maritimes / Beuil
- Difficulté :
- Difficile
- Dénivelé :
- 1600m
- Durée :
- 6h30
Un sommet qui attire l'attention d'aussi loin, difficile d'y résister ! Avec en prime en chemin, bien d'autres belles étapes : Mont Démant, Petit Mounier, Barres du Mounier et du Démant, vallon des sources du Cians... – Auteur : Peyuko
Accès
Prendre la D28 en direction de Beuil, soit en passant par Valberg, soit par les Gorges du Cians.
Laisser Beuil et prendre la D30 en direction de Roubion. Se garer dans l’épingle au hameau de Cougne.
Nombreuses places.
Précisions sur la difficulté
Jusqu’au sommet, aucune difficulté si ce n’est la dénivelé et la distance assez conséquentes.
Petite incartade hors sentier entre le Mont Démant et la Baisse du Démant.
Descente raide dans un pierrier sous le Mont Mounier pour rejoindre le Quartier d’Aoust. Progression hors sentier, mais évidente pour rejoindre le GR5.
Photos
Les infos essentielles
- Carte IGN : IGN TOP 25 n°3640OT « Haut Cians-Valberg »
- Altitude minimale : 1450m
- Altitude maximale : 2817 m
- Distance : 18.5 km
- Balisage : PR et cairns jusqu’au Mont Mounier. Hors sentier jusqu’au point 2397m. GR jusqu’au col des Moulinés. PR et cairns pour rejoindre Cougne par le Cians.
Itinéraire GPX donné uniquement à titre indicatif.
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Itinéraire
Au niveau de la balise 40, monter tout de suite en direction du Mont Démant. On parcourt ainsi la crête boisée du Pré Picas.
Passer les balises 43 et 44. Le sentier franchit la Barre des Passes du Cloutet (site d’escalade) et après une suite de lacets, on atteint le Mont Démant.
De ce sommet, peu individualisé, on peut rejoindre le GR5 ou suivre la large crête qui passe par Pointe Blanche.
Dans les deux cas, on rejoint la Baisse du Démant. Le sentier grimpe à nouveau. Laisser la stèle Vallette sur la gauche et poursuivre sur la crête (quitter le GR, suivre le balisage jaune) qui conduit au Petit Mounier.
Passer les ruines de l’observatoire. Le Mont Mounier se dévoile. Gagner le sommet en restant sur l’arête toujours assez large.
Descendre vers l’est en suivant la pente semi-herbeuse au début puis s’orienter sud-est lorsque la pente devient franchement rocailleuse. Ne pas plonger trop vite au sud, cela permet de contourner plus facilement de petites barres rocheuses. Puis, c’est tout droit dans la pierraille pour rejoindre le secteur du Quartier d’Aoust.
Ce secteur est potentiellement à éviter en période d’estive.
Descendre en s’orientant vers l’ouest, au-dessus de la Barre Sud du Mounier.
Au point 2354m, faire un V en obliquant vers l’est. On progresse alors en surplomb de la Barre du Démant avant de rejoindre le GR5 à hauteur du point 2397m.
Passer par le Col du Refuge puis le Col des Moulinés. Quitter le GR au dernier col pour retrouver un balisage PR qui ramène à Cougne par le vallon des sources du Cians.
Auteur : Peyuko
Avis et commentaires
Bonjour Cyril,
L’itinéraire se situe dans le Parc du Mercantour (aire d’adhésion pour le départ et l’arrivée, cœur de Parc quand on passe les 2000m - trait vert sur la carte IGN).
Dans cette FAQ, le 2e point répond à votre question et vous donne les détails de ce qui est autorisé ou non : mercantour-parcnational.fr...
Bonne rando.
Et en ce moment, attention aux avalanches !
Bonjour,
Est-il possible de faire un bivouac sur cette randonnée ?
Merci
Peyuko,
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Tu as raison : l’arbre n’a pas pu pousser depuis le sol sans lumière. Il y a trop de longueur à parcourir à l’intérieur du "tube" pour que cela soit possible.
Ton hypothèse de pièce moulée autour du tronc d’arbre ne me semble pas la bonne non plus, car cette pièce métallique est beaucop trop grosse pour pouvoir être fabriquée sans détruire la petite pousse végétale (avant que l’arbre ne commence à grandir).
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Troisième hypothèse : que la pièce de métal ait été remplie de terre (il n’y a pas un gros volume à mettre en place), et puis ensuite à avoir planté une graine, ou une petite pousse, dans cette terre de façon à ce que les feuilles de la petite pousse captent le soleil et puissent faire grandir l’arbre. Il faut que la pièce métallique soit creuse jusqu’au sol, pour que les racines, en descendant, finissent par toucher le vrai sol.
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Le problème de l’eau reste encore à clarifier, car il faut un peu d’eau quand même. Peut-être que les pluies du lieu sont suffisantes, si le vent guide assez les gouttes vers l’encoche où se trouve le tronc...???
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L’artiste qui a fait cela n’est pas si fou qu’on pourrait le croire. Il est probablement même très astucieux... et fort, car la pièce matallique est lourde (je dirais plus de 200 kg). Cette pièce me fait penser à un bâti de machine outil, ou de machine agricole.
Il y a peut-être des détails sur internet de la commune où cela se trouve ??
Et comment a-t-il fait au départ pour s’abreuver de lumière ?! J’ai même imaginé un moment que la pièce de métal avait été moulée autour du tronc après coup mais dans quel intérêt (un artiste fou ?) et surtout, cette pièce métallique avait l’air bien plus ancienne que l’arbre...
Pierre ;)
Bonjour Peyuko,
Oui la photo de cet arbre est vraiment bien trouvée : il est étonnant qu’un arbre puisse pousser comme cela... ! Une façon de comprendre le phénomène est que la pièce de métal soit creuse, et que l’arbre ait ses racines dans le sol, et ait poussé à travers le creux...????
Je ne sais pas si c’est la cas, mais il est franchement incroyable que cet arbre pousse ainsi.
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Comme quoi, les capacités des arbres n’ont pas fini de nous bluffer. Ce sont des organismes vivants d’une adaptabilité énorme : ils doivent vivre là où la graine est tombée, sans pouvoir se déplacer, et en devant résister aux conditions climatiques du lieux, quelles qu’elles soient.
Très fort !
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Merci de cette belle photo.
Haha c’est vrai qu’il était costaud le bestiau !
Ce n’est pas un bouquetin mais un bison ! Quelle bête !
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