Le Tuba (3008m), Roc Blanc (2897m), Pointe des Rougnous (2749m) en traversée par les crêtes et en boucle, au départ de Prapic
- Randonnée
- Ecrins / Hautes-Alpes / Orcières
- Lac(s)
- Difficulté :
- Difficile
- Dénivelé :
- 1660m
- Durée :
- 9h00
Dans le Champsaur, au départ du hameau de Prapic, superbe traversée en crête et en boucle du Tuba (3008m), de Roc Blanc (2897m) et de la Pointe des Rougnous (2749m). Un long itinéraire sportif empruntant une ligne esthétique et désertique ouverte sur des panoramas grandioses et bordée d'alpages géants. – Auteur : Thierry GARCIN
Accès
De Gap (Hautes-Alpes), prendre direction du Col Bayard (Corps - Grenoble) par la N85. Dans la montée, avant d’atteindre le col, prendre à droite la route D944 en direction de Col de Manse, Manse, Ancelle (panneau d’indication). Hormis le Col de Manse où se situe le refuge Napoléon, cette route fort esthétique offre un panorama sur les contreforts du Champsaur. Passé Manse, poursuivre vers Pont-du-Fossé puis en direction d’Orcières. À l’entrée d’Orcières, prendre à droite la D474, route étroite qui mène jusqu’à Prapic. Là, l’accès au hameau est interdit (autorisé aux seuls habitants) et les véhicules sont invités à stationner dans un immense parking boisé, en partie goudronné (pancarte).
Précisions sur la difficulté
L’itinéraire comporte deux principales difficultés non-négligeables dans la première partie de la randonnée, pour accéder au sommet du Tuba :
La première difficulté sera physique et se situe dans l’ascension de l’austère Vallon de Chabrière jusqu’au faux col, en dessous du point coté 2851 (marqué sur la carte IGN), séparant nettement en deux la crête ouest du Tuba que l’on abordera par son versant nord. Bien qu’évident depuis le sentier du Lac des Pisses (que l’on quitte à l’altitude de 2150m environ), le sens de l’itinéraire sera néanmoins nécessaire pour parvenir à ce faux col sans trop s’épuiser. La progression se fera entre alpage (sur le bas du vallon) et éboulis moyennement pentus et entravés çà et là de petites barres rocheuses (à mi-montée et sur le haut du vallon), dont certaines franchissables. Facile à négocier sur le bas, la pente juste sous le faux col, donc en versant nord, est un éboulis pas toujours très stable et dont l’inclinaison finale avoisine les 35°.
La deuxième difficulté sera "plus technique" et requiert de la concentration. Cette difficulté se situe, à partir du faux col, dans la poursuite de l’ascension de la partie haute de la crête ouest du Tuba qui devient quasiment une arête rocheuse sur une courte section bordée de précipices au nord et au sud qui pourront impressionner une personne peu habituée à ce type de terrain à chamois. Pour cette partie "plus technique" où la chute est interdite, il est impératif – et j’insiste – de rester sur le fil de crête s’effilant un peu et au fur et à mesure, ce même lorsque vue d’en bas (donc avant de franchir l’obstacle) la suite de l’ascension rebute par sa raideur et son austérité. Le rocher y est globalement sain et l’on peut y prendre appui (tout y est pour les mains et poser les pieds à condition de tester les prises). L’escalade n’excède de toute façon pas le niveau II. Un brin de corde en section 8mm au fond du sac pourra s’avérer utile pour assurer une personne fébrile dans cette section. Ne jamais chercher, par exemple, à contourner un obstacle en descendant, même légèrement, dans la pente sud voire la pente nord, car ce serait-là une grave erreur vu les fortes déclivités dans un terrain friable et très problématique. Plus haut la crête s’élargit en une vaste épaule terro-caillouteuse menant au sommet du Tuba par une pente moyenne.
Du Tuba, la suite de la randonnée n’est que de la marche faisant appel à la topographie et au sens de l’itinéraire.
Globalement, l’itinéraire est à déconseiller très fortement en cas de brouillard et/ou de pluie et/ou de prévisions météo instables, car, d’une part, s’y égarer n’est pas à exclure et, d’autre part, à certains passages raides et exposés, rendus glissants par l’humidité une chute y serait fatale - notamment pour la courte section de la crête (ou arête) rocheuse ouest du Tuba, passage de mon point de vue le plus exposé, de même que la brève ascension de la crête rocheuse sud-sud-est de la Pointe des Rougnous.
En cas d’orage, l’itinéraire empruntant essentiellement des points hauts forcément exposés à la foudre est à risque. De même, personnellement, en cas de brouillard, je ne m’aventurerai à aucun prix dans cet itinéraire en crête. À savoir, en cas de nécessité : des Lauzes Rousses, existe une possibilité d’échappatoire par le Vallon Cros et le Vallon de Prafoura filant vers la Cabane de Vallon Cros (point coté 2228, marqué sur la carte IGN) puis, plus bas, les Cabanes de la Terce (point coté 2030, marqué sur la carte IGN). De là, une sente en zigzags permet de rejoindre le large sentier du Col des Tourettes. Grosso modo, suivre le tracé bleu marqué sur la carte IGN.
Le téléphone cellulaire passe sur les points hauts (pas de réseau ou réseau dégradé entre les Rougnous et Prapic).
En résumé :
1) Avoir une solide condition physique.
2) Savoir s’orienter et lire une carte.
3) Être à l’aise en terrain à chamois et avoir un minimum d’aisance en escalade (par exemple jusqu’au niveau III) pour la partie rocheuse en crête ouest du Tuba. Ne pas être sujet au vertige.
Photos
Les infos essentielles
- Carte : IGN TOP25 3437ET Orcières-Merlette.
- Altitude départ : Prapic (1556m).
- Altitude maximale : le Tuba (3008m).
- Dénivelé positif total cumulé : calcul sur carte : 1700m – calcul GPX : 1660m
- Distance : calculée au curvimètre : environ 25km – calcul GPX : 24km
- Durée : entre 9h00 et 11h00 (j’ai mis 9h00), en sachant que les horaires donnés sont indicatifs, car en fonction de la condition physique et du rythme de chacun.
- Matériel nécessaire : bâtons de marche, carte et compas, altimètre, vêtements couvrants de haute montagne, en cas d’accident : téléphone cellulaire (le réseau passe sur les points hauts – pas de réseau ou réseau dégradé entre les Rougnous et Prapic). En tout début de saison crampons-piolet obligatoires. L’emport au fond du sac d’un bout de corde en section 8 mm peut éventuellement s’avérer utile pour assurer une personne peu sûre dans l’ascension en crête (quasiment une arête dans une courte section) du faux col de Chabrière au Tuba. Emporter 2 à 3 litres d’eau minimum.
Attention : tout ou partie de l'itinéraire se trouve hors-sentier. Cela nécessite un bon sens de l'orientation. L'imprécision du tracé peut être grande car dessiné manuellement (non relevé sur le terrain).
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Itinéraire
PRÉAMBULE :
Cette randonnée a bien failli ne pas se faire. En effet, sur la piste en direction du Lac des Pisses, 300m à peine après la sortie du hameau de Prapic encore endormi, voilà qu’un immense chien de protection mal embouché (Berger d’Anatolie ou Kangal) avec une gueule de bête du Gévaudan déboule sur moi et me barre le passage en aboyant et grognant méchamment dans ma direction. Impossible de feinter en le contournant ni de l’amadouer : j’ai bien tenté plusieurs fois, mais en vain, même en passant au large dans les champs environnants... Pourtant, ma silhouette n’est en rien ressemblante à celle du loup… Au bout de 15 bonnes minutes, je rebroussai chemin la mort dans l’âme et m’en retournai à Prapic. À 6h00 du matin, bien sûr personne dans le hameau plongé dans le plus pur silence. C’est là, que par une heureuse fortune, je tombai sur le berger, propriétaire du chien (me dira-t-il), assis dans sa voiture déglinguée en train de pianoter sur son mobile. Compréhensif, celui-ci m’accompagnera jusqu’à son chien pour le calmer et me permettre de passer. Que faisait en toute liberté dans la nature un monumental chien de protection agressif et sans troupeau à surveiller ? je me le demande… Au final, cette histoire m’aura fait perdre pas loin d’une demi-heure sur mon horaire et coûté pas mal d’agacement.
Cette fort belle et longue randonnée est réservée aux montagnards entrainés. En effet, dans sa première partie jusqu’au sommet du Tuba, l’itinéraire proposé est fort attrayant, mais nécessite de la pratique tout comme de la condition physique, notamment l’ascension de la courte, mais aérienne crête rocheuse ouest dans sa partie haute où l’on flirte brièvement avec de modestes sensations d’alpiniste. L’approche par l’assez dure montée du Vallon de Chabrière, alpage sur le bas puis vaste éboulis entrecoupé de barres rocheuses, ne m’était pas inconnue, ayant déjà fait par le passé l’ascension de l’Entre-Piniers – un fort joli 3000 qui mérite aussi le détour pour ceux épris de solitude et ne craignant pas la caillasse : c’est mon cas. Les amateurs du hors sentier se régaleront ici dans ce Vallon de Chabrière où il n’est pas rare de voir des chamois, puis cette courte ascension de la crête ouest du Tuba où les attendent de jolies sensations dans un panorama grandiose tous azimuts sur les cimes alentour, une vue plongeante sur la vallée du Drac Noir en prime.
La suite de la randonnée consistant essentiellement en de la marche pure et de l’orientation ne manquera pas non plus d’intérêt : entre le vaste dôme désolé des Lauzes Rousses où l’on se sent apaisé et loin des affres de la civilisation, la traversée du caractéristique Col des Terres Blanches avec sa curieuse bulle de gypse à l’air libre, la courte ascension ludique du Roc Blanc dominant le Col des Terres Blanches et le sauvage Col du Ruffy (qui recèle un glacier rocheux versant nord) et le très beau et secret Vallon du Distroit avec son lac du même nom où, à l’estive, paissent des dizaines de vaches faisant sonner leur clarine, tout y est pour recevoir du bonheur et s’enivrer de la Beauté. L’ascension facile de la Pointe des Rougnous par sa courte crête rocheuse sud-sud-est donnant, ensuite, par une pente moyenne puis douce sur le tranquille alpage verdoyant du Lac des Rougnous clôtureront cette traversée hors sentier où le mot solitude prend toute sa signification. Le long sentier bien marqué (et fréquenté) de descente (du Col des Tourettes) en alpages passant par la Cabane d’estive de la Barre et le touristique Saut du Laire jusqu’à Prapic sera l’occasion de rassembler déjà ses souvenirs de cette traversée : le temps file si vite que l’instant d’avant est hélas déjà du passé…
L’ITINÉRAIRE :
ITINÉRAIRE DE PRAPIC AU TUBA :
De Prapic (1556m), au centre du hameau, après la ferme-auberge « La Jabiore », prendre plein nord la piste traversant champs et parcelles en direction du Lac des Pisses (panneau). Au bout d’un peu plus d’un kilomètre, prendre à gauche la large passerelle enjambant le Torrent de Blaisil. Ici, débute le sentier bien marqué menant au très beau Lac des Pisses (2515m). Poursuivre sur ce sentier assez roulant et bien tracé environ jusqu’à l’altitude 2150m.
Là, débute la partie hors sentier.
La bifurcation d’orientation sud-est hors sentier se fait peu après avoir dépassé les splendides cascades dévalant des barres rocheuses issues du Vallon de Chabrière : en fait, on laisse derrière soi, plus bas et à main droite, ces cascades en s’élevant sur le sentier par une série de courts lacets. En gros, pour quitter le sentier : suivre le tracé bleu sur la carte IGN (plus précisément sur carte : l’on quitte le sentier juste en dessous de là où il fait une courte traversée ouest-est caractéristique et peu montante, entre le D du mot Drac et le mot les Pisses marqués sur la carte IGN. L’amorce de l’itinéraire hors sentier se situe un bon demi-centimètre au-dessus du tracé bleu et des deux sources marquées sur la carte IGN et débute par un alpage à l’herbe grasse traversé de rious). Y aller à l’estime.
Prendre la direction sud-est à travers l’alpage pierreux et à l’herbe grasse (attention aux trous), traverser quelques rious, à main gauche une barre rocheuse en demi-cercle aboutissant au point coté 2318 (marqué sur la carte IGN). Dans cette barre rocheuse à main gauche, repérer une ligne de faiblesse terro-herbeuse en forme d’entonnoir renversé caractéristique et bien visible. Grimper la courte pente raide de cet « entonnoir renversé » jusqu’à atteindre rapidement sur la droite une petite vire terro-herbo-rocheuse (cairn à son amorce s’il n’a pas été renversé). Prendre pied sur cette vire et la parcourir prudemment jusqu’au lit d’une cascade à sec. Là, bifurquer à gauche dans le lit de cette cascade à sec et, par de faciles gradins de roche blanche polie par l’eau et les années, atteindre l’alpage en dessus.
S’élever plein est dans l’alpage pentu, en prenant cap sur la muraille ouest et sombre de l’Entre-Piniers que l’on a face à soi, traverser sans difficulté quelques élévations rocheuses, tout en obliquant peu à peu au sud-sud-est en direction de Chabrière. Au fur et à mesure que l’on monte, Chabrière, le point coté 2851, le faux col (point de départ de l’ascension en crête) et la crête ouest du tuba se dévoilent, constituant un point remarquable indiquant la direction à suivre. Évident.
Poursuivre au sud-est dans l’alpage en direction d’un éboulis formant un large couloir entre deux élévations rocheuses. Emprunter ce large couloir pierreux (selon les années, ce secteur d’orientation nord peut recéler ici ou là des névés tardifs) moyennement pentu et parsemé de dalles inclinées menant au Vallon de Chabrière obstrué çà et là de barres rocheuses pour la plupart franchissables dans leur ligne de faiblesse (bien observer la topographie) et atteindre le point coté 2625 (marqué sur la carte IGN), sorte de large replat pierreux permettant de souffler. De là, gravir toujours au sud-est le pierrier en direction du point coté 2851 (bien vivible) et du faux col de Chabrière (sur le bas le pierrier est relativement stabilisé, un peu moins sur le haut) par une pente finale avoisinant les 35°.
À partir du faux col la concentration sera requise, les versant sud et nord bordant le haut de la crête ouest du Tuba sont des à-pics où la chute est interdite. Gravir la crête rocheuse s’effilant un peu plus haut sur une très courte section pour former presque une arête : belle ambiance. Rester toujours – et j’insiste – sur le fil de crête et/ou au plus près du fil de crête où le rocher est plus sain (lire attentivement le paragraphe « Difficultés ») et où l’escalade n’excède pas le niveau II. Rapidement, l’on sort des « difficultés » et l’on atteint la large épaule terro-pierreuse moyennement pentue menant au sommet du Tuba (3008m). Le sommet arrondi offre de splendides panoramas tous azimuts sur les cimes alentour, au nord et au lointain sur les hautes cimes des Écrins, à l’ouest sur la vallée du Drac Noir et au sud-est sur la suite de notre itinéraire.
ITINÉRAIRE DU TUBA A PRAPIC (EN PASSANT PAR LE COL DES TERRES BLANCHES, ROC BLANC ET LA POINTE DES ROUGNOUS) :
Du Tuba, la suite de la randonnée n’est que de la marche faisant appel à la topographie et au sens de l’itinéraire. Avoir au préalable intégré mentalement la carte IGN permettra de progresser sans avoir à la consulter sans arrêt. Pas de surprise en descendant sur les Lauzes Rousses (2915m), vaste dôme caillouteux désertique avec, au loin, moult points remarquables pour prendre un azimut. Du Col des Terres Blanches, (2721m) et sa curieuse bulle de Gypse qu’on laisse à main droite par une courte traversée dans une pente terro-pierreuse en dévers, l’ascension du Roc Blanc nécessite un court effort physique puisque le dénivelé n’est que de 176m. Rester de préférence sur sa crête nord-ouest en forme d’hameçon formée, dans sa partie sous-sommitale, d’un amas de blocs faciles à négocier finalisant l’ascension. Quelques cairns jalonnent l’itinéraire, le tout est de tomber dessus. De toute façon, ça passe à peu près partout. Du Roc Blanc (2897m), dominant le sauvage Col du Ruffy (2782m) de même que le secret Vallon du Distroit avec son petit lac rond du même nom, l’on aperçoit au sud-ouest parfaitement la Pointe des Rougnous se découpant dans l’azur, prochain objectif, et le cheminement pour y parvenir est évident : il suffit d’observer la topographie.
Du Roc Blanc une descente d’orientation sud-ouest par une pente d’éboulis plus ou moins stables permet d’atteindre une large cuvette (ou large replat) parfaitement visible du haut et formée d’un dédale de roche blanche qui se gravit facilement de tous côtés par un système de gradins. Parvenir en crête de ce dédale rocheux au point le plus haut coté 2735 (marqué sur la carte IGN).
De ce point coté 2735, descendre vers le petit col juste en dessous avant de remonter en face, soit plein sud, sur le fil de crête rocheuse menant au sommet de la Pointe des Rougnous : rester sur le fil de crête un tantinet aérienne formant un semblant d’arête rocheuse (rocher assez sain) largement praticable et où l’on est davantage en sécurité qu’à progresser légèrement dans la pente du versant est.
De la Pointe des Rougnous (2749m) offrant une vue imprenable sur l’étonnante et vertigineuse Crête de Valaoute en forme de déferlante, le joli Lac rond des Rougnous fixant le cap, descendre par la large crête sud-est jusqu’au point coté 2701 (formant un large col) puis basculer dans la pente sud-ouest d’inclinaison moyenne puis douce en direction du Lac des Rougnous que l’on garde à main gauche. La suite de l’itinéraire est un jeu d’enfant dans le vaste alpage que l’on traverse en direction du sud-ouest pour rattraper plus bas le large sentier bien marqué venant du Col des Tourettes.
Là, se termine la partie hors sentier.
La suite de l’itinéraire n’appelle aucun commentaire puisqu’il suffit de mettre un pied devant l’autre, le sentier descend en effet vers la Cabane d’estive de la Barre (présence de troupeaux), le beau et très visité Saut du Laire puis enfin Prapic.
Auteur : Thierry GARCIN
Avis et commentaires
Bonjour et merci Berlingo pour ce sympathique commentaire quant à ma traversée Tuba-Roc Blanc-Pointe des Rougnous. PS : je suis natif de la Drôme et connais bien le Vercors et le Diois où j’ai passé mon enfance à skier et marcher. Cordialement, Thierry GARCIN
Ça donne envie !
Merci pour le topo très détaillé.
Allez hop dans mon panier de projets 🙂
Bonjour degui13,
Merci pour ce gentil commentaire laissé sur mon topo Tuba-Roc Blanc-Pointe des Rougnous, itinéraire varié que j’ai pris plaisir à parcourir sans voir personne – du moins pour la partie hors sentier – hormis des chamois. S’il t’inspire alors tant mieux ! Bonne route et bien cordialement, Thierry GARCIN
Salut Thierry,magnifique topo.
J’avais fait il y a une dizaine d’années plus ou moins le même itinéraire sauf que j’étais allé au petit pinier -Tina et ensuite terre blanche et retour prapic et une autre fois sur la crête j’étais allé au petit lac sous le tuba,chapeau rouge et retour par un ancien sentier quasiment avant d’arriver à prapic.
Mais je t’avoue que j’ai vraiment envie de faire ton topo
Bonne randonnée
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