L’Aiguille d’Orcières (2793m) et le Garabrut (2917m) en traversée aller-retour par la crête, au départ des Audiberts
- Randonnée
- Ecrins / Hautes-Alpes / Orcières
- Difficulté :
- Difficile
- Dénivelé :
- 1620m
- Durée :
- 9h00
Dans le Champsaur, au départ du hameau des Audiberts, extraordinaire traversée aller-retour en crête, de la superbe et drue Aiguille d’Orcières (2793m) au Garabrut (2917m). Un itinéraire hautement sportif empruntant une ligne très esthétique en forme de montagnes russes qui ravira les randonneurs chevronnés. – Auteur : Thierry GARCIN
Accès
De Gap (Hautes-Alpes), prendre direction du Col Bayard (Corps - Grenoble) par la N85. Dans la montée, avant d’atteindre le col, prendre à droite la route D944 en direction de Col de Manse, Manse, Ancelle (panneau d’indication). Hormis le Col de Manse où se situe le refuge Napoléon, cette route fort esthétique offre un panorama sur les contreforts du Champsaur. Passé Manse, poursuivre en direction du Pont du Fossé en direction d’Orcières. A l’entrée d’Orcières, prendre tout de suite à droite (virage descendant en angle aigu, à presque 180 degrés) la D475, route étroite qui descend d’abord, traverse le Drac, puis remonte le vallon du torrent d’Archinard et mène au hameau des Audiberts (puis poursuit jusqu’à Archinard, cul-de-sac). Ce vallon d’Archinard se trouve situé exactement en face de la station d’Orcières-Merlette, soit au sud, et il est en limite du Parc National des Écrins. Aux Audiberts, deux parkings sont à disposition : le premier dans le hameau (dans un virage à côté des containers à déchets), le deuxième plus petit et juste après le départ du sentier en direction de l’Aiguille d’Orcières, en bordure de route.
Précisions sur la difficulté
- L’on distinguera deux parties aussi sportives l’une que l’autre vue la raideur et la longueur de l’itinéraire : la première, la plus facile techniquement, consiste en l’ascension de L’Aiguille d’Orcières de l’épaule du Crest (c’est de la marche dans des pentes raides), la deuxième, la « plus technique » car faisant appel à l’agilité et le sens de l’itinéraire, consiste en la traversée en crête du sommet de l’Aiguille d’Orcières au Garabrut - de même que le retour par le même itinéraire jusqu’au point coté 2626 (faux col) pour couper et descendre dans la pente d’éboulis (pénible car en dévers sur la partie haute) d’orientation nord-nord-ouest et rattraper plus bas la sente en direction du Crest.
- Si l’ascension de L’Aiguille d’Orcières ne pose aucune difficulté technique - hormis la condition physique requise -, la descente du sommet sur le fil de crête vers le faux col (point coté 2626, marqué sur la carte IGN) nécessite quelques brefs pas d’escalade facile mais de mon point de vue un peu exposés (il faut dire qu’évoluant toujours en solitaire je mesure le risque différemment d’un groupe). De même, la suite de la traversée sur le fil de crête vers le Garabrut, en forme de montagnes russes assez casse-pattes, recèle une section redressée sous le point coté 2787 (marqué sur la carte IGN) qui pourra impressionner une personne sujette au vertige et peu accoutumée aux redressements rocheux.
- D’une manière générale, l’itinéraire de traversée en crête est à déconseiller absolument à toute personne sujette au vertige et peu accoutumée à ce type de terrain. En effet, la crête tantôt large, tantôt étroite (donnant sur de sombres à-pics en versant nord-nord-ouest et des pentes sévères en versant sud-sud-est), tantôt vivement redressée, tantôt montante, tantôt descendante, tantôt donnant la fausse impression d’être infranchissable, quelquefois peu engageante, la crête terro-rocheuse et/ou terro-herbo-caillouteuse nécessite par endroits de prendre appui (tout y est pour les mains et poser les pieds). Il conviendra toutefois de rester vigilant tout au long du parcours et de tester les prises, car le rocher y est parfois enchâssé peu solidement dans la roche et/ou la terre.
- La traversée en crête aller-retour reste une entreprise sérieuse réservée aux randonneurs chevronnés, dotés d’une solide condition physique sans laquelle l’on risque de terminer à l’agonie. Il n’existe pas d’échappatoire lorsqu’on est engagé sur la crête, sauf au point coté 2787 où il est possible de basculer versant ouest en pleine pente (35° à 40°) terro-herbo-caillouteuse en laissant les barres rocheuses (prolongement dans la pente des points cotés 2657 et 2629) à main gauche et rejoindre 500m plus bas le Creux de l’Aiguille. De là, une traversée horizontale plein ouest entre les sapins clairsemés permet de rejoindre le Crest.
- Hormis deux ressauts rocheux (le premier se contournant par la droite, le deuxième par la gauche sans trop s’en écarter – et inversement au retour), surtout ne jamais succomber à la tentation de descendre dans les pentes nord-nord-ouest et/ou sud-sud-est verticales et peu fiables pour contourner un obstacle (l’erreur pourrait être fort problématique et dangereuse), mais rester toujours au plus près du fil de crête bien plus sécurisant car le rocher y est plutôt sain.
- Globalement, l’itinéraire est à déconseiller très fortement en cas de brouillard et/ou de pluie et/ou de prévisions météo instables, car d’une part, s’y égarer n’est pas à exclure (surtout dans la section dès la sortie de la forêt, entre le Crest et le sommet de l’Aiguille d’Orcières) et, d’autre part, à certains passages raides, exposés, rendus glissants par l’humidité une chute pourrait y être fatale, notamment dans la raide section sous le point coté 2787, passage de mon point de vue le plus exposé.
- En cas d’orage, l’itinéraire empruntant essentiellement des points hauts forcément exposés à la foudre est à risque. De même, personnellement, en cas de brouillard je ne m’aventurerai à aucun prix dans l’ascension de l’Aiguille d’Orcières empruntant des pentes raides et bordée de précipices comme dans l’itinéraire en crête.
En résumé :
1) avoir une solide condition physique.
2) savoir s’orienter et lire une carte.
3) être à l’aise en terrain à chamois et avoir un minimum d’aisance en escalade (par exemple jusqu’au niveau III) pour la partie sous L’Aiguille d’Orcières et la section la plus redressée en crête, sous le point coté 2787. Ne pas être sujet au vertige.
Photos
Les infos essentielles
- Carte : IGN TOP25 3437ET Orcières-Merlette.
- Altitude départ : les Audiberts (1466m).
- Altitude maximale : le Garabrut (2917m).
- Dénivelé positif total cumulé : calcul sur carte : 1700m – calcul GPX : 1620m.
- Distance : calculée au curvimètre : environ 15,5km – calcul GPX : 16km.
- Durée : entre 8h00 et 10h00 (j’ai mis 9h00), en sachant que les horaires donnés sont indicatifs car fonction de la condition physique et du rythme de chacun.
- Matériel nécessaire : bâtons de marche, carte et compas, altimètre, vêtements couvrants de haute montagne, en cas d’accident : téléphone cellulaire (le réseau passe partout, la station d’Orcières-Merlette étant en face), casque éventuellement (je n’en avais pas). En tout début de saison crampons-piolet obligatoires. L’emport au fond du sac d’un bout de corde en section 8mm peut éventuellement s’avérer utile pour assurer une personne peu sûre dans la descente sur le fil de crête de l’Aiguille d’Orcières vers le faux col coté 2626 comportant quelques pas d’escalade facile mais exposés, et dans la section en crête la plus redressée du point coté 2787, soit à mi-parcours. Emporter 2 à 3 litres d’eau minimum.
Attention : tout ou partie de l'itinéraire se trouve hors-sentier. Cela nécessite un bon sens de l'orientation. L'imprécision du tracé peut être grande car dessiné manuellement (non relevé sur le terrain).
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Itinéraire
PRÉAMBULE :
Tout début juillet de cette année j’ambitionnais cet itinéraire repéré de longue date et répertorié dans mes tablettes. C’était sans compter sur les abondantes chutes de neige de printemps en altitude et la mauvaise météo qui s’en suivit préservant longtemps le manteau neigeux de la fonte. En effet, peu après le Crest, parvenu à l’altitude de 2500m je butais au bas de l’immense névé recouvrant le versant nord de l’Aiguille d’Orcières, le Creux de l’Aiguille, de même que l’intégralité de l’éboulis pentu menant au faux col (point coté 2626 marqué sur la carte IGN). Dès 8h00, la neige y était granuleuse, lourde et chargée d’eau. Bref : de la soupe. Y parvenir plus tôt en progressant de nuit à la frontale eut été tout à fait possible, sauf que j’aurais été de toute façon confronté à la neige molle lors de la descente, m’exposant inutilement au danger. Dans des pentes à plus de 35 degrés par endroit, impossible d’y tenir debout, même en crampons (que j’avais prudemment glissés dans mon sac tout comme mon piolet compte tenu des conditions vues du bas) sans risquer la mauvaise voire tragique glissade. Seul, ne pouvant pas me permettre ce genre de dangereuse fantaisie, je renonçais la mort dans l’âme avec la promesse d’y revenir plus tard. Voilà chose faite.
Cet itinéraire est bien plus qu’une randonnée mais un véritable voyage. Un voyage près du ciel sur une ligne rocheuse vraiment très esthétique, dessinée à coup sûr pour les randonneurs et qui ravira tout montagnard amoureux de nos belles Alpes et des grands espaces. Il n’est pas rare d’y voir des chamois dévalant aussitôt la pente sous crête, en versant est. Un voyage avec des panoramas tous azimuts à couper le souffle sur la vallée du Drac, le Champsaur, l’Embrunais, la vallée de Réallon, au nord-ouest le Dévoluy, plein nord le Champoléon avec au lointain les puissantes cimes du Valgaudemar. L’itinéraire en crête ciselée aux allures parfois austères reste néanmoins une randonnée que l’on peut qualifier « d’engagée » (a fortiori si l’on est seul) en ce sens qu’il n’existe pas d’échappatoire (hormis celle décrite dans le paragraphe "Difficultés", et encore faut-il avoir du cran pour s’y engager...) en cas de nécessité de repli rapide ou de renoncement, qu’elle est assez longue et même parfois un tantinet fastidieuse, en tout cas physique, tant la crête bordées d’à-pics vertigineux et de pentes sévères ondule incessamment dans le ciel. Un ravissement pour l’âme et le corps.
L’ITINÉRAIRE :
ITINÉRAIRE DES AUDIBERTS A L’AIGUILLE D’ORCIERES :
En sortie montante du hameau des Audiberts et en bord de route D475 (panneau indiquant la direction de l’Aiguille d’Orcières), prendre la piste étroite montant en sous-bois qui mène à Girardet puis aux Chabauds. Environ 150m après le départ, repérer sur la droite un petit sentier montant bien tracé, balisé de marques jaunes et menant direct à la Combe Noire. Ou bien poursuivre sur la piste étroite jusqu’à atteindre un croisement (panneau en bois indiquant l’Aiguille d’Orcières) dominé légèrement plus haut sur la gauche par deux vieux chalets d’alpage bien visibles. De là, continuer la piste montante direction sud-est, à main gauche les chalets d’alpage qu’on laisse derrière soi, à main droite le torrent de la Combe Noire généralement à sec l’été et que l’on longe, ce jusqu’à atteindre une large piste forestière carrossable bien marquée et arrivant de la gauche. Prendre pied sur cette large piste carrossable montante où, guère plus haut, les forestiers entreposent généralement du bois coupé en attente de ramassage. Que l’on prenne le petit sentier ou la piste par les chalets d’alpage revient quasiment au même sur le plan de la distance et du dénivelé.
Au niveau du bois coupé entreposé à la Combe Noire un panneau directionnel en bois indique l’Aiguille d’Orcières. Poursuivre par la piste forestière montante avant que celle-ci ne se transforme en sentier et sinue agréablement à travers la forêt. Des cairns çà et là et marques jaunes jalonnent le tracé.
Attention toutefois car, pour ceux qui voudraient y aller au printemps, a fortiori s’il est pluvieux et/ou après un hiver de fort enneigement, la luxuriance du site en sous-bois recouvre partiellement le sentier à tel point qu’il faut parfois le deviner. Pour les amateurs de botanique, cette saison sera aussi l’occasion pour traverser des parterres de hautes et magnifiques fleurs de toutes sortes poussant dans les pentes sur des dizaines de mètres carrés… Un régal pour l’œil.
Plus haut, l’on parvient au Ravin de la Croze, zone au sol tourmenté sans nul doute par les fontes et les pluies torrentielles qui sert également d’alpage où paissent des troupeaux de vaches. Vous y serez donc accueillis au son des meuglements et des clarines qui vous donneront un léger brin de vigueur. Bien refermer derrière vous la clôture de l’alpage puisque le sentier désormais en lisière de forêt et qui se perd un peu à cet endroit le traverse nord-sud, toujours en montant.
Chercher la réamorce du sentier en haut du Ravin de la Croze, plus exactement à l’altitude 1773 (point coté sur la carte IGN), la lisière de forêt à main droite. Quelques cairns sont là pour orienter, le tout est de les repérer. Poursuivre sur le sentier partant à l’ouest en forêt et grimpe par une succession de lacets conduisant au Crest (croix en bois sur son socle de pierres sèches), endroit absolument superbe, avec une vue plongeante sur le vallon d’Archinard 1000m plus bas. De là, on commence à apercevoir par intermittence le sommet de l’Aiguille d’Orcières éveillé par les premiers rayons du soleil. Le paysage est tout simplement magnifique. Le sentier désormais se fait sente moins marquée mais suffisamment visible pour ne pas en perdre la trace, des centaines de pieds jadis étant passé par-là. Évident.
Là débute la partie hors sentier.
L’on poursuit sur l’épaule du Crest alors que la pente se redresse. L’Aiguille d’Orcières se mérite en effet, le tout est de pousser sur les cuisses aidé des bâtons. Bientôt la sente se dilue dans le vaste éboulis assez stabilisé qui s’étale sur tout le versant nord et dans le Creux de l’Aiguille (marqué sur la carte IGN). Grosso modo, suivre le tracé bleu marqué sur la carte IGN. Quelques cairns çà et là, le tout est de tomber dessus… De toute façon ça passe partout. L’on atteint ainsi le sommet de l’Aiguille d’Orcières (2793m) offrant sa récompense : au sud-ouest une vue impressionnante et grandiose sur le Barle, au nord-est la somptueuse crête ciselée filant vers le Garabrut, suite de la friandise.
ITINÉRAIRE DE L’AIGUILLE D’ORCIERES AU GARABRUT :
Du sommet de l’Aiguille d’Orcières, descendre la crête nord-est en direction du point coté 2626, également appelé faux col par certains randonneurs. Cette descente en crête est obstruée par quelques courts ressauts rocheux nécessitant des pas d’escalade (tout au plus du II/III), mais de mon point de vue légèrement exposés. Tester la solidité du rocher y est impératif. En tout cas la chute y est interdite, que ce soit versant nord ou versant sud-est où dévalent des pentes sévères.
Parvenu au point coté 2626, l’on est sorti des petites difficultés. Poursuivre sur le fil de crête aérien ondulant en forme de montagnes russes et emprunte les points cotés 2657 et 2629. Peu après, la crête se redresse vivement jusqu’au point coté 2787 (possibilité d’échappatoire en versant ouest décrite dans la paragraphe "Difficultés") avant de s’adoucir. Ne jamais s’écarter de la crête où tout y est pour les mains et les pieds à condition toutefois de tester le rocher. Poursuivre sur la crête. Après le point coté 2741 la crête s’élargit avant de se resserrer à nouveau et de parvenir au sommet du Garabrut (2917m). La vue y est absolument magnifique sur La Pointe de Reyna (2908m), son lac (2695m) et son vallon du même nom où existe un sentier, l’imposante Pointe de la Diablée (2928m) et sa crête sommitale horizontale, au loin le Mourre Froid (2993m) dégage toute sa puissance.
L’itinéraire en crête recèle deux ressauts rocheux : dans le sens Aiguille-Garabrut, le premier ressaut se contourne légèrement par la droite, le deuxième ressaut par la gauche (et donc inversement au retour). Rien de sorcier, progresser prudemment à l’estime et ne pas succomber à la tentation de trop s’écarter de la crête pensant que ce sera plus facile, au risque de se retrouver piégé dans des pentes dangereuses.
Il existe bien sûr plusieurs façons d’organiser cette randonnée : du Garabrut nul n’est en effet tenu de revenir par le même itinéraire. L’on peut, par exemple, descendre du Garabrut par son versant nord parfaitement praticable est rentrer par la Lauze et les Chabauds ou bien par le bel alpage de Basset et le hameau de Prapic. Du Garabrut encore, l’on peut tout aussi bien poursuivre par la crête de la fort élégante et pyramidale Pointe de Reyna et descendre par le Col de Reyna jusqu’au Saut du Laire et, de là, rejoindre Prapic, voire descendre par le vallon de Reyna jusqu’au hameau des Gourniers. A chacun d’imaginer son itinéraire sur un ou deux jours. Pour les avoir tous parcourus, ils sont tous aussi beaux et intéressants les uns que les autres.
Mais cette crête reliant l’Aiguille d’Orcières et le Garabrut est tellement magnétique et superbement dessinée que j’ai décidé de la refaire en sens inverse, donc de rentrer par le même itinéraire. A ceci près que cet aller-retour casse-pattes qui impose sans cesse montées et descentes épuisantes exige une solide condition physique.
ITINÉRAIRE RETOUR BIFURQUANT AU POINT COTE 2626 PUIS DESCENTE SUR LE CREST ET LES AUDIBERTS :
Du Garabrut, repartir tout naturellement en sens inverse sur la crête, toujours prudemment, en s’assurant des appuis dans les passages redressés. Parcourir la crête jusqu’au point coté 2626 (faux col). Le repérer est évident puisque c’est le point le plus bas en crête entre l’Aiguille d’Orcières et le point coté 2787, constituant un affaissement rocheux donnant en versant nord-ouest sur l’éboulis dévalant vers le Creux de l’Aiguille. Traverser cet éboulis en diagonale, direction ouest, en prenant pour azimut le sommet de la Petite Autane d’Orcières (ou la recula) se dressant au loin. Les premiers mètres de descente de cet immense pierrier en dévers sur la droite sont assez pénibles et les bâtons ne seront pas de trop. Rapidement l’on rejoint des amas de blocs plus stabilisés et, de là, l’on parvient sur la partie haute de l’épaule du Crest où l’on rattrape l’amorce de la sente, grosso modo à l’altitude 2500m.
Là se termine la partie hors sentier.
La suite est un jeu d’enfant, à ceci près que la pente assez raide constitue un effort physique non négligeable, a fortiori si l’on en a plein les bottes. Une fois passé le Ravin de la Croze, poursuivre sur le sentier bien marqué jusqu’à la Combe Noire puis aux Audiberts.
Auteur : Thierry GARCIN
Avis et commentaires
Bonjour et merci Michel pour ton sympathique commentaire sur mon topo Aiguille d’Orcières - Garabrut en traversée aller-retour par la crête. Effectivement, j’ai savouré cette randonnée sensationnelle ouverte sur de vastes panoramas.
Cordialement,
Thierry
Encore un beau parcours sur un secteur des Écrins que j’apprécie aussi !
Descriptif 6 étoiles 🌟 !
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