Ferme du Désert (ruines) (1282m) du col de Menée

Bonsoir hereme,
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Je suis tout à fait d’accord avec toi : il s’agit plus probablement d’un sentier pour usage d’un traineau, sur patins et non sur roues. Cela correspond mieux à la configuration des décaissements. De plus cette trace "large" ne se voit pas tout du long : je ne l’ai remarquée que sur la rive gauche du ravin du Cognier. A partir du moment de la traversée sur la rive droite, il ne s’agit plus que d’un sentier étroit, dans le pierrier.
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Sur IGN on voit bien le pointillé de la rive droite. Il coupe ce qui est devenu, plus tard, le GR 965. On voit que le pointillé continue jusqu’au col "naturel" de Menée, à 1457 m d’altitude. Ce tracé, régulier dans sa montée lente jusqu’au passage du col, montre qu’il devait exister déjà avant la construction du tunnel. Sur la carte IGN 1950, le col existe déjà. Je n’en connais pas la date de construction. Connaîtrais-tu cette date ?? Donc le sentier date de plus vieux que 1950, c’est sûr.

Bonsoir vermatoiz,
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J’ai bien quelques outils chez moi, effectivement. Mais je crains qu’ils ne soient pas assez solides, ni assez gros pour les travaux en question. Et puis, il y a aussi une question de budget qui entre en ligne de comptes... Cela fait beaucoup de choses empêchant le rêve de devenir une réalité.
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Quant à la tranquilité, il n’y a pas de doute : elle est pleine et entière. Sauf parfois les bruits issus de la route, derrière la butte au nord, qui de temps à autres viennent brouiller le tableau.
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Tu devrais programmer un passage là-bas, car le sentier est devenu plus agréable depuis que je lui ai enlevé une partie des pierres et cailloux l’encombrant, et ai déblayé les branches mortes au sol. Il est devenu très fréquentable maintenant. Sans parler de la prairie qui est particulièrement agréable (tant que les mouches de l’été ne l’ont pas envahie) avec sa source disponible... D’ailleurs, je me demande jusqu’à quand elle coule, dans l’été, voire dans l’automne ???

Commentaires de la #13 : je pencherais plutôt pour un passage pour un traîneau tiré par cheval ou mulet, nécessitant une emprise horizontale ou verticale moindre.
J’ai connu ça dans le 04, où les locaux utilisaient ce moyen de transport dans des chemins étroits et empierrés irrégulièrement, interdisant charrettes et autres.

Et bien François, tu n’as plus qu’à sortir tes outils ! héhé !
C’est en effet un joli coin, et au moins on n’y serait pas embêté par les voisins !