Sortie du 27 mai 2021 par François Lannes Montagne Durbonas (2086m) par le versant ouest et la source de Font-Froide
Parfois, quand on a de la chance, une montagne c’est un projet. Un projet, parfois, de longue haleine. La montagne Durbonas, et son vaste versant ouest, m’ont offert cette chance, celle d’avoir un projet, presque un rêve. Et du rêve à la réalisation, il a fallu plusieurs étapes. Cette sortie du 27 mai 2021 raconte la première de ces étapes.
Itinéraire, carte // Fiche topo
Topo de référence
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Conditions météo
Beau temps, pas trop chaud.
Conditions du terrain : bonnes
Récit de la sortie
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Génèse :
En arrivant de Grenoble, à l’entrée de Saint-Julien-en-Beauchêne, il y a sur la droite un magasin particulier : il comporte essentiellement des spécialités de paysans, d’artisans et d’artistes locaux. Que ce soit à partir de laines naturelles de lapin, de chèvre ou de lama ; que ce soit à partir de bois, de pierre, de terre cuite, de cuir ou de tissus ; que cela se mange, se boive ou se stocke sur étagère, tout est fabriqué proche d’ici, par des gens des régions environnantes. Ce magasin s’appelle les Créations du Bochaine.
Depuis plus de dix ans, ma femme et moi venons y faire un tour, régulièrement, et acheter quelque pull qui tienne bien chaud pour l’hiver.
C’est d’ici que l’histoire a commencé.
Depuis le stationnement devant ce magasin, un flanc de montagne, dans lequel se dessinent des volutes de calcaire, attire le regard. Plusieurs fois, faute d’avoir pris l’appareil photo, il fallait se contenter du souvenir que ces strates tordues laissaient. Parfois, appareil en mains, un cliché était fait, puis étudié à la maison, sur l’ordinateur.
Géoportail, désigne ce secteur par le mot « les Escaliers ». Un pointillé indique qu’un sentier monte dans les forêts et s’approche des strates. Mais rien de précis n’apparaît. En fait, la question qui pointe - qui taraude derrière cette curiosité - est de savoir s’il peut y avoir là-dedans une arche rocheuse ?
Sauf que, faute de motivation suffisante, je ne suis jamais allé sur place faire la vérification voulue, et la réponse à la question reste aujourd’hui encore en suspens.
Mais c’est ainsi que je prenais contact avec les abords de la montagne Durbonas.
Oui, car ces Escaliers sont une des voies classiques pour aller au sommet, sommet d’ailleurs visible un peu plus sur la droite, dans le fond.
C’est en lisant sur Altituderando les topos et sorties de BA42, de sugar mountain et de Dyn’s que je faisais un peu plus connaissance avec la montagne Durbonas. Ces lectures furent un grand plaisir car, à travers leurs photos et descriptifs, prenaient corps progressivement dans l’esprit, des envies de cheminements sur les flancs supérieurs de cette montagne. De raides pentes, d’herbe et de rochers, semblaient fournir un terrain de jeu comme je les aime. Et les photos qui montraient ces terrains laissaient croire à la possibilité de les parcourir.
De l’envie à la réalisation, il y a souvent besoin de patience. Et l’hiver 2020-2021 imposa ses longs mois d’attente. Je pouvais du coup réfléchir aux préparatifs.
Préparatifs :
Deux des trois versants me tentaient : celui du sud-est, court, dense, mais très raide ; et celui de l’ouest, beaucoup plus vaste, compliqué, barré en bas d’une falaise au caillou douteux, et rayé en haut de plusieurs ravines impressionnantes. Dans les deux cas, le dénivelé nécessaire à monter dépasse les mille mètres, ce qui excède l’habitude que j’ai - maintenant - des efforts à consentir. La partie s’annonçait donc ardue, dès le début…
En ce qui concerne les accès, les situations de ces deux versants étaient là aussi différentes.
Côté sud-est, plusieurs tracés figurent sur la carte. Ceux-ci permettent de s’approcher complètement au pied du raidillon final. Il n’y a donc aucun problème d’accès.
Pour le versant ouest par contre, ce n’est pas pareil. Au-delà du hameau de Baumugne, le vallon du Rif du même nom s’enfonce dans une impasse. De part et d’autre du ruisseau, les flancs sévères ne comportent aucun sentier permettant d’accéder aux pentes supérieures, celles qui conduisent au sommet : il faut donc imaginer un cheminement.
J’étudiais en détails ce versant ouest.
Le versant au sud du rif de Baumugne est constitué de longues forêts, denses, bien raides et dans lesquelles il serait imposé de remonter sous le couvert du feuillage, c’est à dire en aveugle. En aveugle oui, car aucun belvédère ne permet - en cours de route - de comprendre la position où l’on se situe. Cette solution parait, de prime abord, rebutante !
Le versant au nord du rif, lui, est barré de ces falaises apparemment friables, dans lesquelles aucun point faible ne se dessine, laissant espérer d’arriver à les franchir.
Quant au fond du vallon, ce sont toujours ces mêmes falaises qui bouclent l’affaire, avec probablement 50 mètres de hauteur….
Rien !
Toutes les tentatives pour déceler une solution de passage direct sont restées vaines dans ce vallon.
Cette obstination à vouloir franchir tout droit l’obstacle du bas s’explique par le fait qu’au-dessus de la falaise se trouvent de belles pentes supérieures, certes raides, en herbe et en strates calcaire, mais qui peuvent s’envisager d’être remontées et qui, alors, mèneraient exactement au sommet de la montagne Durbonas.
De plus il y a dans ces pentes, et au fond de la ravine principale, une source qu’IGN nomme « Font Froide ». Le « fin du fin » serait d’arriver à aller boire une ou deux poignées d’eau à cette source….
Faute de pouvoir envisager le franchissement direct de la falaise, il fallait imaginer de la contourner.
La première solution – par la gauche, le nord - consistait alors à monter par les Escaliers pour rejoindre les pentes d’herbes à leur coin nord, puis à traverser horizontalement ces pentes - en parcourant le cirque vers le sud - pour atteindre la zone sous la source.
A l’analyse, cette idée présentait deux inconvénients.
Le premier est d’ordre technique et élimine d’emblée la solution : c’est le Ranc Lafaille. Ce Ranc n’est en fait raisonnablement pas franchissable. Pas par moi, en tout cas. Un passage étroit, très raide, complètement exposé au vide, et vraiment obligé à emprunter, élimine clairement l’idée.
Le deuxième inconvénient est lui d’un ordre esthétique : depuis le coin nord du début des pentes, il serait nécessaire de redescendre en altitude - une centaine de mètres environ - avant de remonter ensuite prendre la ravine de Font-Froide. Même si techniquement cet itinéraire était possible, le fait de descendre pour remonter plus loin ne me satisfaisait pas, et nuisait à l’élégance nécessaire pour un joli tracé.
Il fallait chercher ailleurs un bon cheminement…
Restait alors la deuxième solution : le contournement par la droite (le sud), du côté du Pinet, du Champ du Tun ou du Bois Moutier. De ce côté-là, ce sont d’abord de longues forêts à remonter, pour atteindre les pentes d’herbes à leur coin sud, ensuite traverser ces pentes horizontalement - vers le nord cette fois - afin de rejoindre le ravin principal, et la source…
Restait à en étudier le détail.
Ce côté droit est une immense forêt, avec quelques sentiers répertoriés mais seulement en dessous de 1300 m d’altitude. Cela signifie une potentielle difficulté dans le sous-bois entre 1300 et 1600 m. Car il est à craindre que, du fait du climat déjà assez méridional de cette partie du massif, ces sous-bois soient beaucoup de buis et de végétations basses rendant la progression pénible voire impossible. Les expériences précédentes au Ranc de Besson, ou à la Cuillera, avaient montré combien ce cas de figure pouvait constituer un piège.
En supposant avoir franchi cette première étape de forêts, on arriverait alors dans trois clairières successives, où la progression apparaît évidente. Mais ensuite, une nouvelle portion de forêt se présenterait, dont l’inconnu de son franchissement pose à nouveau question.
Restent enfin les pentes finales, plus les ravines, qui pourraient les unes comme les autres s’avérer difficiles, voire pire : infranchissables tout simplement.
Bref.
Un programme comme je les aime, certes, mais un programme quand même bien corsé.
Peut-être un peu trop….
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Jeudi 27 mai :
Baumugne.
Grand beau temps, même pas chaud.
Parfait.
Sac aussi léger que possible, mais avec quelques outils de sécurité, « en cas que ».
Le choix s’est porté sur le contournement par la droite.
Cela commence par le GR de pays qui franchit la crête de Chambon au sud du hameau, puis le torrent de Roumines, pour arriver au point 1244 mètres. On quitte alors le GR pour emprunter un chemin sur la gauche qui permet de monter jusqu’à 1350 mètres normalement sans difficulté.
J’ai opté pour ce choix, plutôt que de monter par le Champ du Tun - passage au Champ de Tun détaillé par sugar mountain et Goupil- car ici ce chemin fait gagner 100 mètres de dénivelé de plus qu’au Tun, et que cela devrait éviter les possibles obstacles d’une garrigue resserrée et basse, au moins sur ces 100 mètres là.
Le chemin est un peu envahi de végétations « parasites », mais ça passe très bien.
Son terminus atteint, il faut aller un peu à droite, et rejoindre la crête voisine. Appelons-la : la crête de Roumines.
Cette crête se remonte de mieux en mieux : les espaces entre les arbres augmentent au fur et à mesure de l’altitude, et les végétations de sous-bois disparaissent quasiment. En fait, la progression est quasi parfaite, et la remontée dans ces conditions se fait à peu près aussi facilement que sur un sentier. J’en suis tout surpris, et heureux. Ce sont beaucoup de fatigue de moins que ce que je craignais, et un temps de marche tout à fait dans les normes standard du dénivelé.
Ces sous-bois sont magnifiques !
Déjà, au long du torrent de Roumines, la hêtraie-sapinière m’avait enchanté, par sa propreté, son épais tapis de feuilles au sol, son silence reposant.
Puis ce furent des forêts avec plus de conifères : pins noirs d’Autriche, pins sylvestres aux branches orangées et entremêlées.
Je me régalais !
Avec cette circulation devenue facile au sein des arbres, avec le soleil naissant faisant luire pleins feux les branches, et le bruit feutré des chaussures dans les aiguilles accumulées par terre, cela créait une ambiance sereine, apaisante, qui arrivait à masquer l’inquiétude de l’inconnu vers lequel j’avançais.
Un vrai plaisir !
Les 300 mètres de dénivelé à remonter furent avalés sans problème, en restant à fleur de la crête de Roumines sur son flanc droit.
La clairière, celle qui se repère facilement d’en bas, fut atteinte dans son fond droit, pile sous l’espèce de rognon rocheux qui en signale par contre l’extrémité supérieure. J’étais particulièrement content de mon affaire car, à partir de là, la moitié de l’itinéraire en forêts était passé, et c’étaient autant d’inconnues qui disparaissent de l’équation. Voilà un bon début !
La remontée dans cette clairière, déjà un peu pentue, doit se faire « consciencieusement, et d’un pas égal » - selon l’expression de Scal, qui écrivait à propos des pierriers du Glandasse - afin de s’économiser le mieux possible. Car elle s’avère longue cette clairière. D’autant qu’il faut viser son coin supérieur gauche, bien loin tout là-haut.
Sur cet itinéraire, il y a une chose que je n’avais pas anticipée. C’est qu’il comporte une traversée vers la gauche longue d’un kilomètre. Ce n’est pas rien, un kilomètre ! D’autant que dans ces pentes et sous-bois, la répétition à l’identique des mouvements de traversée provoque une fatigue nouvelle, à savoir celle des muscles qui se crispent. Bref, je n’en étais qu’au commencement de cette traversée, et n’avais pas encore pris conscience de son impact.
En haut de la troisième clairière (les trois clairières sont séparées entre elles par une simple ligne d’arbres), il faut rentrer dans la forêt de sapins blancs. Quelle n’est pas ma surprise de constater que le sous-bois, ici encore, est tout à fait dégagé ! Et que la circulation y sera vraiment aisée…
Aucune trace de bête n’est évidente.
Elles existent par portions, mais il n’y a aucune continuité entre elles.
A l’estime, sachant qu’il ne faut gagner que 50 mètres de dénivelé pour déboucher dans les « grandes pentes aux ravines », je progresse avec attention. Le sol est souple, avec toutes ces aiguilles de sapins, à quoi s’ajoute l’humus issu de la décomposition des végétaux.
Le déboucher dans la première bande herbeuse – qui m’évoque une « piste de ski » tellement elle constitue une trouée dans cette forêt (et d’ailleurs elle pourrait probablement être classée en piste noire, vu sa pente…) - est le signe du début des complications.
Si les ravines se présentent sous forme de strates rocheuses empilées horizontalement, comme un gros escalier, et suffisamment nettoyé des petits cailloutis, donc facile à traverser, les pentes d’herbe - elles - sont malcommodes à négocier. Il y a moins de marches possibles pour les pieds et le travail des chevilles en est augmenté d’autant. Là, le bâton de ski, rigide, est très utile et je l’emploie à fond avec la main gauche, côté aval.
Guère plus loin, sous l’impact de la raideur qui s’accroit, il faut sortir le piolet qui, lui, servira à la main droite, à l’amont, pour parer un éventuel souci de pied.
Devenu ainsi quadrupède, la traversée est continuée.
La présence de zones boisées, succédant aux courtes bandes herbeuses, rend impossible la vision complète du versant. Ce n’est qu’après plusieurs de ces alternances que, tout d’un coup, surgit une haute falaise, au-dessus de moi, à droite : ce sont les barres rocheuses sommitales qu’il faut contourner par leur bas en continuant la traversée vers le nord.
Ces rochers, en haut, ont une allure peu réjouissante : toujours des strates empilées, qui forment parfois même des surplombs, et dont je me demande quel est le degré de solidité. Je me balade là-dessous et tâche de me convaincre que s’ils ont tenu ces quelques derniers siècles, ils peuvent bien continuer à tenir encore un quart d’heure, le temps que je puisse finir de passer….
Sauf que je suis trop haut dans ce travers, et viens lécher le pied de ces falaises.
Bien sûr il faut continuer, mais plus bas de 30 mètres, ce devrait être moins périlleux.
Descendre un peu, donc...... !?
Quand on doit monter une pente, c’est toujours envisageable : on s’accroche et on ne voit pas trop le vide.
Traverser horizontalement, c’est déjà moins marrant, mais on y arrive.
Descendre, c’est le moins intéressant : il faut faire face au vide, et les marches pour les pieds sont toujours trop basses….
Ça y est : l’hésitation commence.
Pourtant, habituellement, à la descente, je ne m’en sors pas trop mal.
Aujourd’hui, va savoir pourquoi, c’est difficile…
Et puis il y a la suite, là-bas devant, qui n’est pas visible encore, cachée par l’éperon.
En plus - deux cents mètres plus loin - l’arrière-plan du cirque se voit très bien, lui. Et ses pentes me paraissent vraiment pentues. Comment cela va-t-il passer là-bas ??
L’hésitation s’immisce…
Un petit bout de descente amène dans une ravine. Les cailloux de son fond sont plutôt sympas à comparer d’avec l’herbe de juste avant. Mais je mesure mon éloignement : je suis déjà loin de tout, ici. D’ailleurs, le retour, dans les forêts remontées ce matin, comment va-t-il pouvoir se négocier ?? Vais-je retrouver - à la descente - les bons passages qui m’ont permis de passer à la montée ??
Ça y est ! Les questions arrivent en nombre.
Ce n’est pas bon signe.
Je le sens.
L’envie de continuer s’effrite, et tout argument supplémentaire qui vient à l’esprit pousse au demi-tour.
Cela fait trois heures que j’ai quitté Baumugne, et il reste peut-être encore une à deux heures dans ce versant avant d’être au sommet. Je ne me sens pas la pêche pour cet effort vers le haut. Et de plus l’envie de lever le doute sur l’itinéraire de retour enfle.
Ce retour : il m’inquiète lui aussi…
Bingo !
La décision est prise : je fais demi-tour !
Avec l’APN, trois photos sont faites pour marquer le point maximum atteint aujourd’hui, et je tourne le dos à cette suite qui est trop impressionnante. Tant pis….
Ce retour est délicat : « Faut pas s’en mettre une, pas maintenant ! ».
En fait, les passages de l’aller se retrouvent facilement, avec ici un sapin tordu, là une strate commode, et puis « la piste noire » est déjà atteinte.
Ouf, cela commence à aller mieux…
Dans la forêt de sapins blancs, le cheminement redevenu facile hisse un peu le moral. Mais il faut rester vigilant, toujours.
Pas d’erreur ! Pas d’erreur ! Ni dans l’équilibre, ni dans l’itinéraire !
L’arrivée en haut des trois clairières signe une fin : celle des difficultés fortes. Il ne reste finalement maintenant plus qu’à descendre ces pentes dégagées, puis à rejoindre la crête des Roumines, et à rattraper les chemins qui mènent à Baumugne. Ce programme-là paraît accessible, dans mes cordes, et la tension baisse encore d’un cran.
C’est le moment de profiter du panorama sur les reliefs du Diois, en face, dont celui magnifique du Faucon où nous étions il y a peu, avec Dyn’s…
Finalement, tout s’est déroulé sans problème.
Et l’arrivée à Baumugne se fait sous une température qui a bien augmenté.
Un dernier coup de jumelles montre que - là-haut, dans la ravine principale - coule un bon petit ruisseau depuis la source de Font-Froide. Je conclu qu’il est heureux de ne pas avoir continué la traversée aujourd’hui, car les strates calcaires de cette ravine, mouillées comme elles devaient l’être, n’auraient pas été ce qu’il y a de meilleur pour l’adhérence des chaussures. Oui, cette constatation me console de la décision du demi-tour…
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Photos
Auteur : François Lannes
Avis et commentaires
Peut-être pas autant que les Astérix, mais maintenant que tu as commencé, on va attendre la suite avec impatience !
Bonsoir galipette,
Merci donc pour la validation....
Mais comment pouvais-je savoir que c’était toi ???
Et puis je suis heureux que cela t’aie plu.
NB : y a t-il moyen de connaître les nombres de visionnage des topo et des sorties ??
A propos de Giono.
Sur la fresque dont j’ai mis la photo, il y a un petit encart accroché au mur.
Le texte noté sur ce panneau est le suivant, certainement extrait du livre "Le grand troupeau" de Giono :
"On écoute ce bruit du grand troupeau,
............................Ce bruit du monde,
............................Ce bruit du ciel,
............................Ce bruit d’étoiles....
C’est un grand mystère."
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...............Giono
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François, tu peux ajouter celle qui a validé la sortie et qui a pris du plaisir à te lire !
Quant à Beaumugne, Giono, je me dis toujours qu’il faudra que j’aille y faire un tour...
Bonjour vermatoiz,
Merci de ton petit mot !
Il me fait bien plaisir.
Et puis : toi, plus bibox, cela fait deux lecteurs. C’est pas mal pour un début.
Donc je vais m’appliquer pour raconter la suite.
D’ailleurs, l’épisode n°2 est fini, et mis en validation.
Bonjour bibox,
Merci à toi aussi !
Oui, tu peux être rassuré : je suis toujours en bon état
Encore que, dans cet épisode 2, les choses se sont....... !!! ?!?
Enfin, tu vas pouvoir lire.
Quant à l’idée feuilleton, c’est pas vraiment voulu.
Sauf qu’il faut bien d’abord rentrer un topo, avant de pouvoir raconter les sorties ensuite...
Non ??
Mais tu as raison, il y a quelque chose de sympathique dans cette façon de "suite".
Donc tu vas pouvoir lire le n°2 maintenant.
Pour le n°3, il y a encore pas mal de travail à faire. N’attends pas la sortie avant.... ??
Mais ne va pas non plus imaginer une collection comme Astérix. Je n’en suis pas capable !
Je t’ai lu avec plaisir ! En plus, on sait déjà que tout s’est bien fini alors moins de peur pour le lecteur dans les passages avec entrain, que du divertissement 🙂 !
Super l’idée de feuilleton racontant les différentes sorties menant au topo ; ça me donne des sensations de lectures d’enfant où j’attendais d’avoir la prochaine BD, par exemple !
Impressionnant ce balcon... et les photos font envie.
La suite au prochain épisode !
Quel beau projet ! Merci de le partager du début à la fin.
Et tu n’as renoncé que pour mieux y retourner, peut-être....
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