Refuge du Soreiller (2719m)
- Randonnée
- Ecrins / Isère / Saint-Christophe-en-Oisans (Les Deux Alpes)
- Destination refuge
- Difficulté :
- Moyen
- Dénivelé :
- 1250m
- Durée :
- 6h30
Rando qui nous mène au pied de la superbe Aiguille Dibona. – Auteur : l’expatrié
Accès
De Bourg-d’Oisans, suivre la D530 en direction de Saint-Christophe-en-Oisans ; se garer à l’entrée du Hameau "Les Étages".
Ce guide Altituderando est une sélection de randonnées itinérantes sur 2-3 jours en refuge ou en bivouac. Plus de 25 idées pour vous évader le temps d’un week-end !
Les infos essentielles
- Carte : IGN TOP25 3436 ET Meije - Pelvoux
- Altitude minimale : 1595 m
- Altitude maximale : 2720 m
- Distance (A/R) : 11 km
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Itinéraire
Du panneau d’entrée au hameau des Étages (1597m), prendre le chemin qui monte vers la Combe d’Amont ; ça monte sec tout de suite, pas le temps de s’échauffer.
Le sentier monte au milieu des rhododendrons et traverse un névé (reste d’avalanche) qui subsiste parfois en début de saison ; il rejoint ensuite la combe d’Amont dont il enjambe le ruisseau.
Après un court passage raide, on aperçoit enfin l’aiguille Dibona (3131m) mais il est encore difficile de distinguer le refuge au milieu des rochers.
Un faux plat arrive enfin à la sortie de la combe. Suit ensuite quelques lacets raides qui permettent de rejoindre le refuge du Soreiller.
Retour par le même itinéraire.
Photos
Auteur : l’expatrié
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Ah, l’Aiguille Dibona, qui apparaît soudain, merveilleuse comme un rêve lointain. Cette aiguille, qui se laisse admirer longtemps avant d’atteindre le refuge. Cette face sud de 400 m qui grandit peu à peu, faisant monter le taux d’adrénaline et qui laisse le temps de se demander si l’on a pas été un peu présomptueux de vouloir se mesurer à elle. Et puis quand on est engagé, le stress est oublié, c’est ce rocher si beau, le passage en tunnel, les dalles de la voie Berthet, les cannelures Stofer qui permettent de voir le refuge tout petit en regardant entre les jambes... Une ascension qui donne du bonheur pour une vie entière. Et une pensée pour Pascale, compagne d’un lundi de septembre.
Le 12 novembre 2010 à 00h32