Vires du Sambardou (1660m) et du Rocher d’Archiane
- Randonnée
- Vercors Drôme Treschenu-Creyers
- Randonnée du vertige
- Difficulté :
- Très difficile
- Dénivelé :
- 1100m
- Durée :
- 8h30
Le cirque d'Archiane est une merveille naturelle du sud Vercors. Quand on regarde ses reliefs, on aimerait être un oiseau ou un bouquetin pour en découvrir chaque recoin. Je n'ai pas assez de superlatifs pour présenter l'enchainement de très haut vol des deux vires proposées qui se font face au cœur des grandes falaises. On est éberlué par l'ampleur de leurs lignes pourtant praticables à nous les humains, éclairées par notre soleil bien placé le matin puis l'après-midi. Cet itinéraire est à ne pas placer sous tous les pieds et un passage de la vire d'Archiane est plus du ressort de l'alpinisme. C'est l'une des plus belles randonnées du vertige, aux promontoires nombreux, petits miracles sur le parcours. Merveilleux ! – Auteur : bibox
Accès
De Grenoble, prendre l’autoroute du Trièves, puis continuer au sud sur la D 1075 jusqu’à prendre à droite au niveau de Clelles-Gare, pour suivre et franchir le col de Menée. Tout en bas du col, de l’autre côté, au hameau de Menée, prendre à droite en direction du cirque d’Archiane, indiqué.
De Valence, suivre la route de Crest puis de Die. Prendre la direction de Châtillon-en-Diois et à la sortie du village, suivre vers le col de Menée. Au hameau du même nom qui marque le pied du col, prendre à gauche pour le cirque d’Archiane, indiqué.
Précisions sur la difficulté
Le tracé sur la carte reste indicatif (ce n’est pas une trace GPS) car il est difficile d’être très précis pour ces vires qui traversent de grandes falaises. Sens de l’orientation en terrain sauvage et une bonne lecture du topo sont requis.
Le seul moment vraiment technique du parcours se trouve sur la vire d’Archiane et son grand décrochage au niveau d’un couloir où il sera plus prudent d’utiliser une corde de 2x35m en faisant un relais sur les arbres pour descendre en rappel dans le creux. La désescalade, voire un rappel, sont possibles en descendant dans le fond du couloir puis dans un trou étroit formé par un rocher coincé, assez délicat et patiné. Il faudra ensuite remonter sur la vire en face par un pas de 3. À part pour ceux qui sont très à l’aise en désescalade ou qui ne viennent pas pour la première fois, il vaudra mieux considérer ce passage comme de l’alpinisme.
Il faudra être vigilant sur un parcours exigeant physiquement et mentalement, qui présente une bonne trace tout du long mais comporte des traversées de pierriers pentus et ravines terreuses exposées au vide. Bons pieds aguerris requis. Il ne faudra pas avoir le vertige.
La pluie et le brouillard sont à proscrire.
Un casque est obligatoire à mon sens alors que l’on évolue sous de grandes falaises. Un caillou s’est littéralement planté à un mètre de moi au cours de ma randonnée.
On évolue en partie dans la réserve naturelle des Hauts-Plateaux du Vercors et il faudra donc en respecter scrupuleusement la réglementation ainsi que sa quiétude.
Il est déconseillé de pratiquer cet itinéraire pendant la reproduction des bouquetins, de octobre à mi-mai.
Je mets beaucoup de photos qui peuvent être utiles mais aussi gâcher le plaisir de la découverte pour certains. C’est pourquoi je propose une sélection des essentielles à regarder : 7-8-14-22-25-29-51-54-69-80-88-89-90-91-93-103-105-107-108-109.
Photos
Les infos essentielles
- Carte IGN : 3237 OT Glandasse-Col de la Croix-Haute
- Altitude minimale : 760 m
- Altitude maximale : 1660 m
- Distance : environ 15 km
- Horaires : comptez entre 8 et 9 h
- Balisage : jaune et vert sur les sentiers de départ et de retour. Sentes de bouquetins sur les vires et cairns aux points clés. Un peu de GR 93, rouge et blanc, pour descendre sur le carrefour des Quatre Chemins.
Chargement de la carte en cours
Itinéraire
Précision
Rien ne nous oblige à réaliser l’enchainement des deux vires à la suite et elles peuvent être pratiquées séparément. Un tracé médian sur la carte permet de descendre la combe de l’Aubaise sur le GR 93, pour rejoindre Archiane, après avoir fait la vire du Sambardou. Ce même tracé permet aussi de monter du hameau, si l’on souhaite faire uniquement la vire du Rocher d’Archiane.
Du parking jusqu’au grand entonnoir du pas de Sambardou
Rejoindre le hameau d’Archiane par la route et suivre le panneau indiquant "le refuge". Un chemin descend au bord du ruisseau. La trace part dans les fourrés tout de suite à gauche pour traverser un petit pont. Avec la vire du Sambardou, on va évoluer sur le versant est de la montagne du Glandasse.
On se retrouve sur un sentier de randonnée balisé jaune et vert qui va monter d’abord direction nord avant de virer complètement au sud. Il effectue alors un travers très aisé, entrecoupé de portions plates voir même parfois légèrement descendantes. Après une petite heure de marche, on débouche au carrefour de Crépée et l’Eaupigne où l’on trouve un panneau indiquant Archiane.
Suivre la piste sur la droite, direction nord. Après 400m environ, celle-ci effectue un virage sur la gauche au niveau d’une esplanade avec vue sur la vire du Sambardou à venir. Moins de 100m après, on trouve deux bons cairns. Un sur la piste et un sur le talus qui marquent le départ du sentier qu’il nous faut prendre.
Il monte direction nord, très irrégulièrement dans son inclinaison, alternant les portions très raides (surtout la première) et plus cools. Au niveau d’une fourche où se trouvent des cairns, continuer sur le sentier de droite (à gauche, c’est pour monter à la combe de Veyranche). Il continue un bon moment encore avant de tomber sur les premiers promontoires sur le Rocher d’Archiane en face et la combe de l’Aubaise. Ces promontoires sont de plus en plus grandioses au fur et à mesure ! On traverse plusieurs pierriers inclinés et autres ravines terreuses qui demandent parfois une bonne dose de vigilance, alors que l’on se rapproche doucement mais surement du bord des falaises au-dessus de nous.
Quand on arrive en vue d’une sorte de petit col ou plutôt d’une corniche, il est conseillé de rejoindre avant le pied des falaises par des gradins herbeux. Il faut mettre un peu les mains ensuite pour grimper sur la corniche. Celle-ci marque le départ à proprement parlé de la vire du Sambardou, après environ deux heures d’approche. Jusqu’au grand entonnoir, c’est la partie commune de la vire ; il n’y a pas de séparation entre vire inférieure ou supérieure, sur cette portion.
De la corniche, la trace qui permet de rejoindre l’entonnoir du pas de Sambardou, possède une courte longueur étroite et vertigineuse mais bien tracée.
On arrive alors au pas de Sambardou (photo 22) et juste avant, à l’entrée du pierrier, on trouve un bon cairn.
La Vire Inférieure du Sambardou
Au niveau de ce cairn, il ne faut pas suivre la trace qui monte et se dirige vers l’entonnoir. Ceux qui montent se trompent et finissent par se retrouver sur la vire supérieure bien plus engagée...
Il faut traverser le pierrier, à droite, légèrement descendant pour rejoindre une trace qui effectue une courbe sous les rochers pour gagner la vire inférieure qui commence par une large bande herbeuse où l’on trouve un éboulement de roches colorées.
On traverse ensuite deux très beaux cirques. Sur les photos, cela parait facile mais il vaut mieux avoir le pied sûr, en ce terrain terreux, avec le vide à côté.
À la sortie du deuxième cirque, on peut rejoindre à droite une plateforme bucolique. Une incroyable aire de pique-nique au milieu des sauvages falaises ! Un promontoire d’exception et un des plus beaux points d’intérêts du parcours.
La suite continue dans un cadre toujours grandiose, plus vaste et plus à découvert, sur une sente parfois un peu pénible à gérer en restant en haut.
Après quelques hectomètres, la sente va traverser plusieurs pierriers désagréables. Certains conseillent de crapahuter sur la gauche pour rejoindre le sentier au-dessus.
Dans tous les cas, on arrive sur un très sympathique replat où l’on rejoint le GR 93, avec vue sur les hauts-plateaux et le Mont Aiguille.
Descendre le GR 93, à droite, en direction du carrefour des Quatre Chemins de l’Aubaise. La descente effectue de nombreux lacets sur un terrain très pierreux.
On arrive au carrefour marqué par un énorme cairn.
La vire du Rocher d’Archiane
Au carrefour des Quatre Chemins qui porte bien son nom, prendre celui en face qui commence d’abord sud-est puis serpente pour environ 200m de dénivelé, en montant dans le versant opposé à celui que l’on vient de descendre. Dans sa partie haute, on traverse un pierrier panoramique de droite à gauche avant d’atteindre un bon sentier à plat ; perpendiculaire. À gauche, le sentier mène aux Petit Jardin et Jardin du Roi. Nous on va prendre à droite.
C’est la trace de la vire d’Archiane qui commence de manière assez engageante et paisible avant de traverser plusieurs pierriers où l’on évolue sans difficultés.
On est sur la première portion du versant ouest du Rocher d’Archiane. On arrive d’abord sur une impressionnante faille que l’on longe au bord des falaises creusées où des blocs éboulés sécurisent la progression.
Ensuite, bien que la trace soit en très bon état globalement, grâce aux bouquetins et grimpeurs bipèdes qui viennent s’attaquer aux grandes falaises, celle-ci est délicate dans chaque courbe légèrement incurvée. Il faut redoubler de vigilance sur ces passages terreux, déversant sur un vide qu’il ne faut pas oublier.
Quand on arrive au niveau du grand promontoire herbeux, à côté duquel se trouve la lame du Pestel cachée, la sente en elle-même devient alors bien plus commode à suivre.
On est dans la portion la plus esthétique de la vire, la plus aérienne, où l’on évolue sous les grandes falaises orangées, toujours en versant ouest.
Mais la vire se stoppe alors nette dans un décrochage spectaculaire au niveau d’un couloir. On regarde en dessous la suite qu’il va falloir rejoindre.
Il y a deux options :
- À gauche, utiliser un des arbres du bosquet près des falaises pour faire un relais et poser un rappel pour gagner par des gradins puis une dalle, le creux du couloir pentu mais pas non plus vraiment exposé à une glissade une fois arrivé. Une corde de 2x35m fera l’affaire. Par contre, à mon passage, il n’y avait plus de relais déjà en place sur les arbres qui permettent le rappel. Il faudra venir équipé au cas où.
- La désescalade est possible pour qui est bien à l’aise avec cette pratique. Pour ça, il faut rejoindre les falaises au-dessus du bosquet et gagner le fond du couloir et sa belle cavité. Descendre au mieux (pas dur) pour gagner le mur opposé où l’on trouve un passage étroit sous un rocher coincé. Il ne faut pas être gros pour passer et notre sac peut être pénible pour manœuvrer. Vue du dessus, c’est tout de même peu engageant, scabreux et patiné... Pour ma part, un duo de randonneurs que j’ai rattrapé pile à cet endroit m’aura été providentiel. J’ai pu utiliser leur corde pour descendre, sans quoi seul, j’aurais fait demi-tour. Si je devais y retourner un jour, connaissant maintenant le pas, je pourrais peut-être l’envisager en solo mais c’est toujours pareil, quand on découvre, on ne sait pas (photo 90). Un relai était présent, coincé derrière un petit rocher juste au-dessus du trou de lune. On gagne alors aussi le creux du couloir par une petite descente prudente.
Il faut alors remonter sur la vire par un petit pas d’escalade en 3 où il faut d’abord longer vite fait le mur puis crapahuter (photo 91). Il n’y avait plus de corde fixe à mon passage.
On arrive ensuite au niveau du pilier sud Livanos et de son petit promontoire. On change de versant et si vous avez réalisé ce topo à la journée, vous serez probablement maintenant à l’ombre, en milieu d’après-midi, sur le versant sud-est du Rocher d’Archiane !
La trace suit en amont proche des falaises où il n’est pas rare de trouver des bouquetins ici. La dernière petite difficulté technique consiste à descendre d’un étage. Ne pas prendre le premier passage tracé mais rejoindre le bout en passant derrière un arbre pour trouver une désescalade facile.
Le final de la vire est étroit mais sans difficultés. On tourne sur la gauche pour découvrir une spectaculaire gorge et le haut de son grand pierrier que l’on atteint sur une bonne sente minérale bien tracée.
On descend sur la droite entre quelques arbres d’abord puis on dévale prudemment 200m de dénivelé, toujours en rive droite, sur le grand pierrier dont les falaises qui l’entourent forment un canyon très incliné. On trouvera aussi une belle cavité sous les parois puis des arbres clairsemés en bas.
Suivre la trace en bas à droite du pierrier qui serpente dans les buis sur quelques hectomètres et qui rejoint le beau sentier transversal dit de découverte du site d’Archiane, balisé jaune-vert.
Pour le plus court, il faut le prendre à gauche pour atteindre vite une intersection au niveau du ravin de Pédâne et descendre à droite jusqu’au hameau d’Archiane indiqué puis retrouver le parking.
Crédit
Cette randonnée fait suite à la lecture des publications de Pascal Sombardier, tête chercheuse et grand chantre de ces itinéraires hors des sentiers battus et souvent vertigineux. C’est grâce à la sécurité de son travail de passionné que je m’engage sur ces parcours qui appartiennent bien sûr à tout le monde. La vire d’Archiane était déjà bien connue des grimpeurs depuis des décennies mais c’est à lui que l’on doit la redécouverte de celle du Sambardou. Le plaisir que j’ai à les partager sur notre site préféré, qui donne une voix à tous, est immense.
Même si vous trouvez mes photos très jolies, vous en verrez encore d’autres dans ses publications références que ce soit dans ses livres, magazines ou son blog ! Vous trouverez, par exemple, un beau cliché de la remarquable chandelle du Pestel sur la vire d’Archiane, que j’ai raté à photographier en passant trop vite là où il fallait se retourner. Vous trouverez souvent aussi une description du secteur et un petit historique de ces tracés au cœur des massifs, en France ou parfois à l’étranger, rappelant qu’ils étaient déjà pratiqués par les bergers ou autres chasseurs.
Je souhaite exprimer par ces mots ma gratitude à Pascal Sombardier ainsi que de l’admiration pour sa précision plus épurée mais diablement efficace, ainsi que sa pertinence. J’espère trouver mon style également, voire pouvoir l’affiner. Avec moi, vous aurez beaucoup de mots, beaucoup de photos, mais pas tellement plus d’infos.
Quoi que certains en pensent, ces parcours d’aventures sont regardés sur les différents médias et pratiqués. Je n’étais pas seul sur la vire du Sambardou et nous étions sept, pour ce que j’ai vu, sur celle d’Archiane.
L’enchainement présenté ici est tout simplement une des plus belles randonnées que j’ai effectuées.
Merci !
Lien vers le blog, ici.
Auteur : bibox
Avis et commentaires
Bonjour, on a fait cette randonnée il y a deux jours, elle est incroyablement belle et impressionnante, merci beaucoup ! Par contre, on s’est rendu compte après qu’on aurait pas dû y aller : la zone est concernée par la reproduction du Gypaète Barbu, le parc demande d’éviter la zone du 15 décembre au 31 août... parc-du-vercors.fr/node/4...
Salut et merci pour ce topo et le reportage photos qui donne vraiment envie d’y aller, bien au contraire.
Me suis fait le Dévoluy l’année dernière avec le Grand Ferrand par les Arches Interférentes, le Pic de Bure par le Pas de Paul, traversée Héroïque dans la foullée... Tête de la Cavale par le col du Portail. l’Obiou en solo cette année en passant par le ravin de Couravou, tracé repris sur ce site d’ailleurs, pas vraiment des voies normales si je puis dire. Juste pour dire que ça devrait être de mon niveau car je compte aller faire cette belle rando l’année prochaine, je donnerai un retour bien évidemment. Je prendrai la corde si je décide de ne pas passer par la cheminée, juste pour le fun de descendre en rapel.
Merci à toi encore et bien entendu à Pascal Sombardier. ;)
Hello Bibox,
Sortié réalisé ce jour. C’était vraiment sublime et je tenais sincerement a te remercier pour la qualité de ton topo.Quelle journée...! Merci Bibox...Puisse un jour se rencontrer et partager une belle course !
Cordialement !
Paul Club Alpin Francais Bourg
C’est une folie ces photos....Je vais programmer tout cela...
Merci Bibox
Bonjour,
Nous avons effectué cette boucle le samedi 21 août. La météo était au grand beau. Départ à 9h05 et la montée sous les arbres était la bienvenue car nous avons pu évoluer à l’ombre dans les sous-bois et le chemin avant la Vire du Sambardou s’est faite plutôt agréablement.
Dès les premiers passages en cire, on s’aperçoit quand-même que ce n’est pas à mettre sous tous les pieds !
Nous n’avons pas eu de mal à trouver le petit sentier sauf dans une Vire intermédiaire où nous sommes montés trop haut mais l’erreur s’est vite corrigée en revenant sur nos pas.
La pause s’est faite vers 14h00 à la jonction du GR à l’ombre de petits arbustes. De là, la descente juste après le repas n’était pas de tout repos dans le pierrier. Arrivés au 4 chemins, la montée reste plutôt agréable. Une fois au départ de la Vire d’Archiane, nous admirons la Vire du Sambardou et en face et nous comprenons l’ampleur de celle-ci. Difficile de réaliser qu’un tel chemin puisse se faufiler dans cette citadelle calcaire.
Les passages où l’on n’a pas droit à l’erreur, sont nombreux mais la beauté des lieux fait vite oublier les endroits exposés.
Nous admirons et faisons de nombreuses haltes photos.
La dernière partie vers le grand éboulis nous se fait sans mal mais il faut aller jusqu’au bout pour s’apercevoir de l’ampleur de cette descente.
Nous tombons nez à nez avec des chamois qui nous précédent.
La descente se fait plutôt bien !
Nous arrivons au parking à 19h45.
La boucle aura duré 10h45 tout de même !
Difficile de ne pas faire moins, car nous avons profité de la faune et pris de multiples photos de vautours, chamois, paysages...
Cette rando reste un super souvenir car par ces temps de crises, nous n’avons vu personne, si ce n’est aux alentours des 4 chemins, et ça, c’est appréciable de ne pas être sur des autoroutes !
Merci pour votre site et de nous avoir permis de vivre cette superbe journée !
Le chargement de la trace sur le gps nous a été d’une grande aide, ainsi que certaines photos.
Bonne continuation pour ce super site.
Claire et François
Pour info, pour le rappel il ya des biens des sangles en ce moment, pour le grand rappel et la partie désescalade dans le goulet.
Bonjour,
Merci bien. Effectivement, par grosse chaleur estivale... Après perso, j’aime bien marcher au soleil avec la lumière qui met en valeur la vire sur laquelle je me trouve. Puis pour prendre des photos et les publier sur AR, ça rend mieux 🙂
Mais oui c’est toujours bon ! ++
Beau topo, belle narration
J’adore cette vire du ’Pas de Sambardou’... Sa sauvage beauté minérale et aérienne... Sa faune toujours présente...
Je préfère la lumière d’après midi (>16h)...Le Glandasse permettant alors d’évoluer à l’ombre tout en profitant de l’éclairage des Roches de Tussac, tête du Jardin et Rocher d’Archianne
Mais bon... Matin ou seconde partie d’après-midi... On en prend plein les yeux... Sensations assurées.
Rando à ne pas mettre sous tous les pieds comme vous le rappelez... Pieds solides, lecture de carte et du terrain obligatoire...
Vous m’avez convaincu, ça faisait longtemps que je voulais y aller, mais j’appréhendais un peu, mais avec le nombre de photos que vous avez mis je me suis décidé et je ne regrette pas quel Rando !!!
Magnifique. encore merci a Pascal Sombardier, ces livres règnent sur mes étagère
Encore bravo pour vos photos
Bravo pour cette randonnée "hors norme" et pour ces photos que l’on regarde avec énormément de plaisir. L’hommage à Pascal Sombardier est bien mérité, son blog est fantastique à regarder : que ce soit pour ce type d’itinéraire, pour les grottes glacées de Chartreuse ou du Dévoluy, ou des itinéraires en Sardaigne ou au Portugal....
Au vu des photos nombreuses et utiles car elles donnent effectivement un bon aperçu, il doit s’agir d’une rando inoubliable... Ce sud du Vercors fait envie.
Personnellement, regarder beaucoup de photos ne m’a jamais gâché le plaisir d’autant que les proportions entre la réalité et des images regardées sur un écran d’ordinateur ne sont pas les mêmes. Aussi, pour chaque photo, il y a un hors champ.
Enfin, tu as bien résumé l’esprit du site.
Oui, les passages délicats c’est quand même sympa de bien voir avant... Pour le pas de désescalade sur la vire d’Archiane, il fallait se lever tôt pour trouver une photo satisfaisante donnant une idée de la difficulté.
Merci pour ton avis en tous cas Pascal !! J’essaye que mes albums donnent une sensation de progression vivante. Comme toi quoi !
Quand je pourrai, j’espère venir sur ton secteur. J’ai déjà coché la Pointe Blanche par les arêtes des Aiguilles Vertes !
Excellent ! Du coup, plus besoin d’aller se balader dans l’ouest americain !
L’abondance de photos peut être dérangeante si de trop nombreuses sont sans intérêt (ni esthétiques ni descriptives), ou si elles sont trop similaires ou redondantes. Mais ce n’est pas du tout le cas ici ! Au contraire, cela nous offre un apercu détaillé de toute la course, permettant aux aventureux qui souhaitent s’y lancer d’avoir un aperçu précis des difficultés qu’ils vont rencontrer sur leur chemin, et "pour nous les autres" d’effectuer ce magnifique parcours "par procuration".
Merci !
Superbe ! Vous nous faites rêver les gars avec ces magnifiques topos dans ce massif si particulier.
Bravo et merci de nous en profiter ! 🙂
Ah oui Rémi, pardon, j’ai la mémoire qui flanche.....Peut-être un effet du confinement ! lol !
Merci à vous ! C’était la deuxième fois que je venais à Archiane et la deuxième fois en mai. Je sais pas comment c’est en juillet mais ça doit être bien sec. Oui terrain glissant sur certaines traversées. Sinon, là les ruisseaux coulaient bien à flots. Terrain curieux entre très pierreux avec beaucoup d’éboulis, beaucoup d’arbres et tout de même de la verdure. Le genre d’endroit où l’érosion est frappante j’imagine. Ambiance western ce sud Vercors je trouve. Mais c’est un honneur Mick que tu ai utilisé la fonction favoris 🙂 Vienez équipé pour un rappel et peut-être pour faire des mains courantes si vous tentez la vire supérieure de Sambadou pour un nouveau topo !
Mah Nadine, j’y suis déjà allé à la Baronne ! Tu as été la première à me mettre un commentaire sur la sortie lol. 🙂
Bonnes aventures !
Super classe, très belle aventure ! Ça fait bien envie.
Mick, comment ça la fonction favori ?!
[edit] : Ayé c’est bon, j’ai vu ! 🤣
Magnifique, Rémi ! Tu es mûr pour le Sentier de la Baronne !
Je connaissais la Combe de l’Aubaise mais j’ignorais qu’il existait un passage par là-haut.
Curieux paysages ! Cela parait tellement sec. Merci pour ce topo. Je viens pour la première fois d’utiliser la fonction "favori" du site pour garder en mémoire cet itinéraire.
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