Pic Blanc du Galibier (2955m)
- Difficulté :
- Moyen
- Dénivelé :
- 575m
- Durée :
- 2h30
Petite randonnée par sa longueur qui permet d'atteindre un sommet auquel il ne manque que 45 mètres pour atteindre la barre des "3000". Le panorama du col du Galibier est fort justement réputé. Avec 300 mètres de plus, celui du Pic Blanc est plus remarquable encore. – Auteurs : BA42 et Britanicus100
Accès
Route du col du Galibier, entre les Hautes-Alpes et la Savoie. Parking avant l’entrée du tunnel du Galibier versant Hautes-Alpes, vers le Monument Henri Desgranges.
Précisions sur la difficulté
- Sentes raides sous le Pic 2826
- Arête rocheuse parfois aérienne, mais facile, entre le Pic 2826 et le Pic 2816
Photos
Les infos essentielles
- Carte : IGN TOP 25 3435ET
- Altitude de départ : 2556m
- Horaire : 2h00/3h00
- Distance : 4,2 km
Balisage
- Aucun
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Itinéraire
Ascension
Du parking, le Pic 2826 est bien visible. Le Pic Blanc ne l’est pas.
Du Monument Henri Desgranges, prendre le chemin à l’ouest.
Le chemin vire à gauche, pour passer entre une croupe herbeuse à droite et une épaule rocheuse du Pic 2826 à gauche.
On arrive au pied d’une petite combe à gauche.
Remonter cette combe pour gagner la crête au sud-est du Pic 2826.
Suivre cette crête, raide au début, jusqu’au sommet du Pic 2826.
Poursuivre la crête, qui passe par le Pic 2816, jusqu’au Pic Blanc du Galibier.
- Entre le Pic 2826 et le Pic 2816, la crête devient plus étroite et présente quelques petits passages rocheux aériens qui peuvent se contourner par la gauche, sud.
Panorama extraordinaire.
Retour
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Variantes
- En début d’itinéraire, après le contournement de la croupe herbeuse, on peut continuer plein ouest et remonter la sente qui parcourt l’arête nord du Pic 2826.
- À la descente du Pic Blanc, on arrive au col (qui est parfois appelé col Blanc) entre ce dernier et le Pic 2816. Prendre la sente qui traverse en versant nord, sous le Pic 2816 et sous le Pic 2826.
- Les sentes de ces deux variantes se voient très bien du parking mais étaient sous la neige lors de mon ascension du 13 juillet 2013.
- Variante de départ par Britanicus100, voir ci-dessous.
Ascension par le haut du vallon de Roche Noire
- Cet itinéraire est intéressant pour les personnes sujettes au vertige.
Accès
Sur la route du col du Galibier en venant du Lautaret se garer au petit parking situé sur la droite de la route à la cote 2434 m et à un bon km avant le souvenir Henri Desgranges. (Ce parking ne figure pas sur la carte IGN.)
Descriptif
Ce qui change
- Altitude du départ : 2434m
- Dénivelé : 521m
- Distance : 5 km
- Durée : 2h15 à 2h30 ( allure tranquille)
- Balisage : Uniquement par cairns
Le sommet du Pic Blanc est parfaitement visible du parking.
Du parking au niveau de la table d’orientation traverser et remonter la route de quelques mètres jusqu’au bloc cimenté d’écoulement des eaux puis emprunter sur la gauche le sentier qui s’élève sur le talus.
Ce sentier bien marqué qui n’est pas visible de la route et qui ne figure pas sur l’ IGN en tant que sentier suit tout de même l’itinéraire du ski de randonnée indiqué sur la carte par des pointillés bleus.
Il s’élève progressivement et continuellement au Nord-Ouest dans l’alpage sur les hauteurs du Vallon de Roche Noire en longeant les crêtes des Pics (2826 et 2816) situées à sa droite avant de rejoindre le pied de l’ascension finale commune aux deux parcours.
Dans la montée vous rencontrerez une bifurcation où il faudra prendre à droite de façon à bien longer la base des crêtes des pics précités.
Le retour s’effectue par l’itinéraire de l’aller en sens inverse.
J’ai réalisé une vidéo qui décrit bien l’ambiance de ce parcours.
Vidéo
Auteurs : BA42 , Britanicus100
Avis et commentaires
( 5 |
1 avis )
Merci pour votre appréciation.
Superbe balade même s’il y a un passage un peu juste (mettre les mains et être méfiant)
Refus d’obstacle, trop vertigineux cotation de l’itinéraire par les crêtes est à considérer Difficile, non Moyen
Eh oui mais s’adapter aux altitudes élevées et en même temps produire des fruits de bois, c’est un peu trop demander 😉
Bonjour Philippe,
C’est vrai que la Benoîte rampante rappelle les fraisiers...sauf qu’il n’y pas de délicieuses baies à déguster.
Jolies photos Alain. Et accessoirement, belle illustration d’un aspect évoqué dans le dossier "Flore" : la multiplication végétative par stolons (les tiges rouges que l’on aperçoit sur la photo de la Benoîte rampante) ...
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