Hauskoa (1268m) par le col d’Arroskoa - Traversée et tour

Se rendre au col d’Arroskoa 1103m et se garer dans les espaces herbeux à côté de l’ancienne carrière.
La montée débute de cet endroit même. On suivra les sentiers montants qui démarrent côté droit, puis c’est la remontée facile de pentes d’herbes rases que l’on va effectuer.
Ça passe partout. A l’approche du sommet, une zone un peu rocheuse et lapiazée sera à traverser, puis c’est à nouveau herbeux jusqu’au sommet.
Hauskoa 1268m. Caïrn sommital. Vaste plateau. Et belle vue de tous côtés, et en particulier côté Est.

Se diriger à présent vers le sud, vers le 2^e point haut sommital. Quelques rochers. On a en face la crête du pic de Behorléguy.
Descente vers le col de Landerre. Elle ne pose pas de problème, la pente est régulière et en herbes rases. On peut avoir de petits replats entre pentes. On aboutit au col où on retrouve la route d’Ahuskia.
Col de Landerre 1072m. Bloc rocheux avec plaque adossée. "Iguzkia et Hura - Menditarren lagun" (le soleil et l’eau, amis de la montagne).
A noter, il y a au-dessus, non loin du col, accès par piste, une station de pompage alimentée par des panneaux solaires.
Du col, se diriger vers le col d’Aphanize, tout d’abord en suivant la petite route, puis on grimpera sur le talus et par un sentier bien tracé, on se dirige droit vers le gouffre d’Aphanizé. Passage près du rocher avec le panneau explicatif sur le gouffre.
Col d’Aphanizé 1044m.
En face, côté nord, démarre une piste que l’on va suivre. Il va vers le nord, puis nord-ouest et descend vers le ravin, A ce niveau, on passe près d’une installation de captage d’eau (2 gros réservoirs, pompes aussi). Ce sont les sources de Xaraskiko Iturria.
La petite route laisse place à une piste qui continue en traversée sur le flanc de la montagne. On continue, et on rejoindra le cayolar d’Azkonobiko Etxola et son enclos.
Une barrière, la piste continue, et au bout d’une traversée sur le flanc sud-est de la montagne, on arrive au bout de la piste où se trouve un dernier cayolar. en limite de la forêt de Sorozabale.
Un sentier monte directement sur la crête, on le suit, il nous mènera à un abreuvoir.
Nous sommes à présent sur un des côtés d’un grand cirque herbeux que l’on va traverser jusqu’à son axe central en suivant un vague sentier plus ou moins tracé.
A présent, il s’agit d’aller côté nord, sans perdre d’altitude vers une partie de la forêt de Sorozabale qu’il faut traverser pour retrouver les estives du col d’Olhamendi.
Il nous faudra descendre un peu pour trouver les meilleurs passages nous permettant de progresser vers le nord. Cette partie boisée cache une zone rocheuse arbaillesque qu’il convient de traverser prudemment. Par chance, la partie la plus délicate est courte et c’est bientôt un sous-bois classique qui nous attend. On sortira de la zone boisée et c’est par une traversée d’estives qu’on rejoindra le col d’Olhamendi, mais cette partie se fait par des sentes mal tracées, avec des trous, et en herbes hautes.
Lorsqu’on rejoint le vallon d’Olhamendi, on passera près d’un effrondrement karstique caractéristique impressionnant que l’on longera sur le côté droit. Puis on arrive au large col d’Olhamendi où on pourra remarquer une cabane de chasse.
A présent, on passe sur le versant nord, et on retrouvera des sentes mieux marquées qui nous mènent à un abreuvoir. On poursuit par un sentier bien tracé, une traversée de ce versant, en dominant la petite route de Guillembero. Cette route, on la rejoindra à mi-traversée au niveau d’un enclos, puis ce sera la traversée montante menant au col d’Arroskoa.
Du col, restera à descendre environ 100 m pour regagner la zone de l’ancienne carrière et le point de départ.

Un parcours varié, facile sur les 4/5 du parcours, et qui se corse avec la petite traversée de la forêt de Sorozabale et la partie qui suit sur une sente mal tracée. Il est également possible de revenir par le côté ouest par la route, puis en coupant par des estives faciles pour rejoindre le col.