Grand tour du Miravidi
- Randonnée
- Savoie / Bourg-Saint-Maurice (Les Arcs)
- Difficulté :
- Difficile
- Dénivelé :
- 3700m
- Durée :
- 3 jours et plus
Cette "Haute Route" du Miravidi a tous les atouts dans sa manche : sentiers sauvages à l'écart des foules du TMB, passages aériens (mais jamais difficiles) et vues exceptionnelles sur les massifs du Mont Blanc, du Ruitor et de la Vanoise. – Auteur : Vertaco
Accès
De Beaufort , prendre la direction de Bourg-Saint-Maurice par le Cormet de Roselend. Dans la descente du Cormet, prendre à gauche la petite route menant aux Chapieux et poursuivre jusqu’à la Ville des Glaciers où l’on se gare.
En été, la route des Chapieux à la Ville des Glaciers est fermée de 8h30 à 17h30, dans le sens montant uniquement, le retour étant possible à toute heure.
Une navette est en place (3,50 €/personne, navette toutes les 30 minutes)
Pour plus de précisions, l’arrêté municipal est affiché au point d’information à l’entrée du hameau, où sont également vendus les tickets pour la navette.
Précisions sur la difficulté
Quelques passages assez aériens, du Col de Chavannes au Col de Bassa Serra et sur le sentier Thomas Rocques. Les passages les plus délicats sont équipés.
L’itinéraire se déroule presque intégralement à plus de 2000 m, des névés tardifs peuvent être présents et rendre certains passages plus délicats.
En particulier, un névé situé après le col de Chavannes et dont le franchissement peut s’avérer très difficile certaines années subsiste parfois tout l’été (cf. mention dans le topo et divers commentaires relatifs à ce névé)
Tout le parcours se fait sur un sentier balisé, même si la carte IGN indique parfois le contraire. Cependant le sentier est parfois peu visible et le balisage manquant, il faut donc être attentif à l’orientation et parfois naviguer à vue.
Préférer réaliser ce tour dans le sens horaire : les pas difficiles se font ainsi dans le sens montant (plus facile) et l’orientation semble également plus facile. cf le retour d’AnnabelleK dans les commentaires sur le sens antihoraire.
Photos
Les infos essentielles
- Carte IGN : TOP25 3531ET Saint-Gervais-les-Bains Massif du Mont-Blanc
- Altitude minimum : 1 789 m (Ville des Glaciers)
- Altitude maximum : 2 756 m (Tête Nord des Fours)
- Distance : environ 52 km
- Balisage : rouge et blanc du TMB (Ville des Glaciers - Col des Fours), double trait jaune du Sentier Thomas Roques (Tête Nord des Fours - Col de la Seigne), ronds jaunes (Col de Chavannes - Col du Petit Saint Bernard), trait jaune PR (Col du Petit Saint Bernard-Ville des Glaciers). Des cairns jalonnent les portions délicates.
- Chiens autorisés : oui, aucune réglementation spécifique sur le parcours, attention tout de même aux nombreux troupeaux au départ et à l’arrivée de la Ville des Glaciers
Chargement de la carte en cours
Itinéraire
Introduction
Nous avons découvert cet itinéraire sur le site internet du refuge Robert Blanc. Nous avons simplement changé le découpage des étapes, pour pouvoir le faire en autonomie et avec une nuit de plus.
Rendons à César ce qui est à César, il faut donc noter qu’il est possible de réaliser cette boucle en trois jours, avec une première nuit au refuge Robert Blanc et une seconde à l’Hospice du Petit Saint-Bernard.
- La trace GPS indiquée sur ce topo est donnée à titre indicatif. Elle est approximative sur certaines portions.
Jour 1 : de la Ville des Glaciers à la Combe de Bellaval
Dénivelé : +1 100 m / - 400 m
Du parking, suivre la variante du GR du Tour du Mont Blanc jusqu’au Col des Fours, puis poursuivre la crête vers le nord (cairns), pour atteindre la Tête Nord des Fours.
Continuer vers le nord sur une sente bien visible. Elle descend une petite barre rocheuse. On trouve alors rapidement le balisage constitué d’un double trait jaune du sentier Thomas Rocques, beau parcours sauvage et aérien qui relie la Tête Nord des Fours au Col de la Seigne.
Suivre le sentier jusque sous le Lac de l’Enclave où l’on bivouaque.
Jour 2 : De la Combe de Bellaval aux Lacs de Chavanne
Dénivelé : + 1 100 m /- 950 m
Continuer le sentier Thomas Rocques jusqu’au Col de la Seigne, via le refuge Robert Blanc. Le sentier traverse des paysages somptueux, dominés par l’Aiguille des Glaciers avec en point d’orgue la traversée sous le Glacier des Glaciers.
- Quelques passages aériens et équipés sur cette portion.
Au col, superbe panorama sur le massif du Mont Blanc, qui ne nous quittera plus de la journée.
Partir ensuite vers le sud-est, versant italien, par un sentier bien visible (en pointillés sur la carte IGN), qui part plus ou moins de niveau (légère descente), avant d’effectuer une courte remontée jusqu’au Col de Chavannes.
Peu après le col de Chavannes on trouve un balisage constitué de ronds jaunes. C’est ce balisage que l’on suit pour la partie italienne de ce circuit. On y trouvera parfois le numéro 10 jusqu’au col de Bassa Serra, après lequel on basculera sur le circuit numéro 14 jusqu’au lac Verney.
Poursuivre au sud-ouest une sente restant de niveau, pour rejoindre les lacs situés sous le glacier de Chavannes où l’on bivouaque.
Jour 3 : des Lacs de Chavannes au Fornet
Dénivelé : + 1 150m / -1 500 m
Le sentier balisé longe les lacs, passe un premier petit collet, puis se dirige vers le pied d’une paroi où il s’engage en traversée ascendante sur une vire exposée, pour atteindre le col de Bassa Serra.
Descendre au sud dans le superbe vallon du Breuil, jusqu’aux alentours du point coté 2503 m sur la carte IGN où l’on bifurque en direction du Col du Petit Saint Bernard, via les lacs de la Tormonaz et de Pointe Rousse, le Col de Pointe Rousse et le Lac Verney (balisage jaune toujours présent).
De l’Ancien Hospice, prendre le sentier balisé de jaune qui se dirige vers le Col de la Forclaz. Le balisage est bon, mais le sentier est fréquemment traversé par des clôtures qu’il faudra enjamber.
Belle vue sur le Mont Pourri et la Grande Casse sur toute la montée.
Du col, descendre vers le Pont de Chézari. Le sentier, bien marqué et balisé au début, finit par disparaître en cours de descente (à moins que nous ne l’ayons perdu). Nous avons donc piqué directement à vue sur les ruines du Beaupré d’en Haut, bien visibles, où l’on retrouve un balisage et une sente plus ou moins à l’abandon, qui nous ramène au Pont de Chézari.
Remonter alors la Combe du Fornet en direction du Col de l’Ouillon.
Là encore, nous avons dû cheminer à vue (aisé), mais après vérification sur le Géoportail, il semblerait tout simplement que le tracé du sentier ait été modifié par rapport à celui de ma vieille carte IGN. Nous aurions donc suivi l’ancien tracé qui, ayant été abandonné, est compliqué à suivre.
Bivouac sur un replat dans le vallon.
Jour 4 : du Fornet à la Ville des Glaciers
Dénivelé : + 350 m / - 850 m
Petite demi-journée où l’on atteint le Col de l’Ouillon, duquel on retourne vers la Ville des Glaciers par un sentier bien marqué et cairné qui descend abruptement avant de filer vers l’Est et de rejoindre le GR du Tour du Mont Blanc au dessus du refuge des Mottets.
Il ne reste plus qu’à suivre le GR jusqu’au parking.
Auteur : Vertaco
Avis et commentaires
@MIJOE01 73 : Ce névé semble être régulièrement problématique à franchir, j’espère que vous avez tout de même pu poursuivre la rando. Je vais ajouter cette précision dans le topo.
Bonjour, nous avons fait le tour du MIRAVIDI ente le 19 et 21 AOUT 2024 dans le sens horaire. Nous avons été bloqué par le névé situé après le col de Chavanne pour accéder au plateau glaciaire de BASSA SERRA. Pour le franchir un équipement est nécessaire comme crampons et longe de sécurité..
Une variante (un peu plus technique) qui permet de passer par le sommet du Miravidi, en jour 3 :
- la montée se fait hors sentier en quittant le tour un peu avant le lac de Tormottaz pour remonter en contournant la base de la Punta dei Ghiacciai, en embrayant en quelque sorte sur ce topo : altituderando.com/?page=ra... . Les cairns sont trop rares pour être utiles ; à la descente côté français par le col des Veis (en s’inspirant de cet autre topo : altituderando.com/?page=ra... ) il y a davantage de cairns mais il faut souvent les chercher quand même ; les plus intrépides pourront tenter de rejoindre plutôt le col du Breuil (autre itinéraire de descente possible) mais c’est une arête, pas évident avec les gros sacs.
- Versant italien, il n’y avait début août 2022 pratiquement plus de névés non plus, rendant inutiles les crampons et le piolet mais en temps normal ces équipements sont nécessaires pour la partie sommitale
- Se lancer dans cette variante, c’est s’offrir un panorama magique de plus mais c’est se rajouter de la difficulté, ne serait-ce que pour se faire un itinéraire de montée entre les différents verrous glaciaires entre ce qu’il reste du glacier d’Arguerey et la crête rocheuse descendant du Miravidi (pas de trace GPX désolé, on fait tout à l’ancienne à la carte topo IGN et à vue)
Bonjour, merci pour ce super tour que nous avons fait tout début août, avec une variante : jour 3, passer par le sommet du Miravidi, en montant versant italien et récupérer la fin de ce tour au niveau du Pont de Chérazi en redescendant versant français par le col des Veis. Je détaille dans un autre commentaire.
Concernant ce topo, les coins de bivouacs indiqués sont parfaits, avec de l’eau et une vue magnifique. A savoir selon nous sur le tour :
- C’est effectivement largement préférable de faire le tour dans le sens horaire (nous nous imaginons mal descendre le col de Bassa Serra ou le passage équipé entre le col de Chavannes et les lacs, avec les gros sacs) ;
- Je déconseille d’emmener des enfants sur un tel tour (à la rigueur, des ados motivé.es et au pied sûr ?) Il y a de nombreux passages exposés qui, sinon, nécessiteraient une petite corde d’assurage ; et il y a des montées qui peuvent dégoûter des gosses...
- Entre le refuge Robert Blanc et le col de la Seigne, l’apparente "traversée" (suite du sentier Thomas Roques) n’est pas de tout repos, la signalétique annonce 3h45, c’est peut-être exagéré mais nous en avons tout de même mis 3. Une passerelle a été (une fois de plus) emportée et il faut se déchausser pour traverser (facilement) le torrent qui descend du glacier.
- En cette année de sécheresse exceptionnelle, il n’y avait plus aucun névé le 2 août entre le col de Chavannes et le passage équipé, ce qui facilite le passage du couloir ; mais de nombreux ruisseaux étaient déjà asséchés, et il n’y avait par exemple pas d’eau sur le plateau de la Forclaz (sous le col de l’Ouillon) à l’exception de celui coulant au plus près de la paroi descendant du Miravidi (à l’Est du plateau, donc)
Si vous partez des Chapieux l’aprem comme nous, possible de couper la première étape en dormant au lac de Mya, un peu avant le col des Fours : un chouette bivouac de plus, mais qui fait que la seconde étape est courte ! (on a constaté trop tard que pour rééquilibrer un peu, il aurait été possible d’aller dormir sur le replat 300 m sous le refuge Robert Blanc plutôt que sous les lacs d’Enclave, si ça vous tente)
Bonjour,
début juillet 2022
le passage par le sentier Thomas Roque est magnifique mais la dernière partie passe juste sous le glacier des glaciers ...
Apres le col de Chavanne , effectivement il y a un souci avant d’arriver dans la zone des lacs . Le névé est effectivement contournable par le haut mais l’ascension le long du névé se fait sur terrain extrêmement instable dans une zone très exposée . cette partie en montée n est pas équipée malgré la présence de spitz . Une fois la partie haute du névé atteinte la redescente le long de la paroi est compliquée avec des gros sacs dans la mesure ou cette rando est réalisée en autonomie complète. Elle ne pose par contre pas de problème de sécurité puisque nous sommes "protégés" par le névé. La sortie de ce passage se fait par une vire très exposée mais équipée.
Dommage ... un simple câble ou une chaine sur les 15 mètres permettrait de se sentir un peu plus sereins . Il semblerait que cette partie ne soit équipée que lors du trail annuel ...
Pour ma part je n ’amènerai pas d’enfant sur ce troncon chavanne bassa serra sauf si habitués à ce type de parcours un peu scabreux ...
@barocknroll merci de ton retour, donc peut être un trop compliqué avec des enfants, même aux pieds sûr en montagne
Bonjour CaRoule73,
Je confirme qu’il a moins neigé cette année 2022 que l’année dernière en 2021 et qu’il a fait plus chaud. Mais j’ai parcouru le circuit en septembre 2021 (donc assez tard dans la saison) et j’ai quand même été un peu retardé (sans plus) par le névé après le col de Chavannes. Suivre le balisage jaune qui permet de le contourner par le haut, ce n’est plus du sentier, il faut utiliser les mains. Je précise que j’ai fait le parcours dans le sens horaire.
Je considère que certaines, courtes, portions du circuit sont en terrain instable, qu’ il faut avoir le pied sûr et que la chute est à éviter.
Les conditions changent suivant les années et le mieux c’est d’avoir les informations de quelqu’un qui vient tout juste de faire la randonnée.
Merci @AnnabelleK pour ton retour. Ce tour te semble réalisable avec des enfants bons marcheurs ? Les passages sont pas trop exposés, dangereux ?
Ce tour semble magnifique question paysages !
Il a fait chaud cette année, peut être que vous ne rencontrerez aucune difficulté par rapport à l’année dernière où le début d’été avait été assez froid. A priori, avec le parcours en sens horaire, la principale difficulté (le névé !) semble être contournable facilement grâce au balisage que nous n’avons pas vu depuis l’autre côté.
Pour le reste, avec un peu de sens de l’orientation, on s’y retrouve facilement ! Je vous souhaite un bon trek, quel que soit l’itinéraire retenu !
Salut, nous souhaitions faire ce tour avec nos enfants (bons marcheurs en montagne) mais vos commentaires m’inquiètent sur la partie italienne... alors que le topo du refuge Robert Blanc fait bien peu de commentaires sur de réelles difficultés. Merci de vos avis et retours.
Merci pour ce Topo !
J’ai parcouru l’itinéraire dans le sens horaire, les 23 et 24 septembre 2021.
Après le col de Chavannes, la sente de niveau, qui rejoint les lacs situés sous le glacier de Chavannes était interrompue par un névé raide en neige dure au niveau d’un petit couloir.
J’ai contourné le névé par le haut, en suivant un balisage jaune. A noter : il y a des plaquettes que l’on pourrait utiliser pour une main courante.En haut du névé il suffisait de se laisser glisser entre le névé et le rocher pour rejoindre une chaîne et un passage aérien mais bien équipé.
La vire aérienne qui permet de rejoindre le col de Bassa Serra est en ascendance de droite à gauche. Il faut donc aller la chercher bien à droite du col. (et à droite de la trace GPS, mais nous étions prévenus qu’elle était approximative)
Nous nous sommes arrêtés à l’ancien hospice. Le gérant de l’auberge semblait bien informé des conditions par les clients de passage ainsi que par sa connaissance du terrain. Bon à savoir...
Bonjour Anabelle,
Tant mieux si ce tour t’as plu et merci pour ce retour. Dommage que vous n’ayez pu faire la dernière partie qui est très belle.
Les difficultés que tu cites semblent correspondre à celles que j’avais déjà soulignées dans le topo : le sentier parfois difficile à suivre côté Italien et surtout vers le Col de l’Ouillon, les quelques passages aériens mais néanmoins équipés (encore que le col de Bassa Serra ne nous avait pas semblé si ardu que cela) et la possibilité de névés tardifs.
Pour la traversée vers le col de Chavannes je n’ai pas le souvenir de crevasses à traverser, dans mes souvenir le sentier est bon tout le long jusqu’au lacs, par contre nous avions nous aussi été bloqués par un névé difficile à franchir. Nous avions pour notre part opté pour un contournement par le haut (une trentaine de mètres je dirai) et avions pu traverser sans encombre à un endroit ou il était bien plus étroit et moins pentu, mais cela peut être très variable suivant les années et la période où cette rando est faite.
Je pense qu’il est vraiment préférable de faire ce tour dans le sens horaire car ainsi tous les passages difficiles se font à la montée, ce qui facilite grandement. Je pense aussi que l’orientation est plus facile dans ce sens (balisage plus présent et sentiers plus facilement identifiables). Je vais l’ajouter dans le topo.
Merci pour ce topo !
Nous venons de le réaliser (mi août), un peu modifié, et sur 5j. Nous sommes partis dans le sens anti-horaire par rapport aux étapes et bivouacs que nous avions envisagés en planifiant.
Tout s’est très bien passé ou presque, jusqu’au col de Chavannes qui nous a donné du fil a retordre et demandé un peu de sang froid. Voici quelques précision pour les suivants ;)
- malgré la carte IGN et le tracé GPS, nous avons à plusieurs reprises perdu la trace. Nous suivions un sentier balisé, puis le même sentier quelques mètres plus loin ne semble plus être le bon sans en avoir croisé d’autre, et balisage disparu, notamment sur la partie du parcours qui va du col de l’Oullion jusqu’au col du petit saint Bernard. Nous avons donc beacoup navigué à vue, et conseillons d’être bien attentifs sur l’itinéraire !
- La descente du col de Bassa Serra jusqu’aux lacs de Chavannes demande tout de même un pas sûr. Nous l’avons passée sans problème mais cela peut être plus compliqué pour des randonneurs moyennement aguéris. C’est après que cela se complique.
Nous nous sommes retrouvés bloqués à quelques centaines de mètres avant d’atteindre le col de Chavannes : l’itinéraire prévoit de passer à travers (au moins) une crevasse qui semble équipée. Sauf qu’un névé tardif, très raide remplissait partiellement cette crevasse, empêchant le passage sans équipement. Nous avons donc pris l’option de descendre à travers un immense pierrier, pour aller presqu’en bas de la vallée, et remonter ensuite au col. Si la remontée se fait bien, la descente était clairement scabreuse par moment, nous a fait traverser un torent assez vif, et demandé un peu de sang froid.
- Avec le temps perdu, nous avons donc rejoint le col de la Seigne et pris la décision de redescendre directement à la VIlle des Glacier, en supprimant donc toute la partie supérieure du parcours, via le refuge Robert Blanc, le col de la grande écaille, le col des fours. Cette descente du col de la Seine est assez fréquentée et sans difficulté.
Nous avions pourtant pris renseignements sur les conditions de passage, d’enneigement sur le circuit, mais visiblement notre informateur n’était pas le plus avisé. Ne pas hésiter à grapiller plus d’avis, jusqu’à trouver une personne passée très récemment sur le circuit...
Malgré tout, les paysages sont splendides, nous avons bivouaqué dans des lieux idéaux, à l’écart de tout et des foules, nous avons trouvé de l’eau en abondance tout le long du parcours, alors malgré cette journée difficile avant le col de Chavannes, ça a été une très belle randonnée !
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