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Sortie du 21 octobre 2024 par François Lannes

Dans la descente, côté sud du col de Rabou : le soleil est à l’heure, lui aussi
Dans la descente, côté sud du col de Rabou : le soleil est à l’heure, lui aussi
Les épingles du sentier de Grande Randonnée de Pays sont une invite à descendre calmement
Les épingles du sentier de Grande Randonnée de Pays sont une invite à descendre calmement
Le vallon de la Tête du Château prend le premier soleil. Pic de Bure, lui, tout au fond, est déjà debout depuis longtemps
Le vallon de la Tête du Château prend le premier soleil. Pic de Bure, lui, tout au fond, est déjà debout depuis longtemps
Quelle douceur, en ces lieux d’altitude ! Et quel contraste entre cet arbre, si frêle, et ce pic, tant dominateur !
Quelle douceur, en ces lieux d’altitude ! Et quel contraste entre cet arbre, si frêle, et ce pic, tant dominateur !
Sur la droite, les premières falaises de la Plane - celles proches du col de Rabou - questionnent sur la possibilité de cheminements à imaginer ici
Sur la droite, les premières falaises de la Plane - celles proches du col de Rabou - questionnent sur la possibilité de cheminements à imaginer ici
Même la lune est présente, ce matin. La journée va être belle !
Même la lune est présente, ce matin. La journée va être belle !
L’éperon sud de la Tête du Château va être bientôt contourné : c’est maintenant que l’automne va s’ouvrir en grand !
L’éperon sud de la Tête du Château va être bientôt contourné : c’est maintenant que l’automne va s’ouvrir en grand !
Nous y voici ! Nous sommes à l’entrée du vallon de la Lauze
Nous y voici ! Nous sommes à l’entrée du vallon de la Lauze
Merveilleux automne montagnard ! ! ! On reste figé sur place par le spectacle inoui. Ici, avec la couleur marron brûlé des feuillages, que la sève a cessé d’alimenter. Là, avec la magistrale muraille, aux multiples éperons, tous issus - par descendance filiale - du Maître des lieux.
Merveilleux automne montagnard ! ! ! On reste figé sur place par le spectacle inoui. Ici, avec la couleur marron brûlé des feuillages, que la sève a cessé d’alimenter. Là, avec la magistrale muraille, aux multiples éperons, tous issus - par descendance filiale - du Maître des lieux.
Je ne m’étais pas attendu à un tel Théâtre, en arrivant ici. Il aurait fallu prendre le temps de marcher sous les ramures, et de divaguer sur ces pelouses fignolées par le troupeau des vaches...
Je ne m’étais pas attendu à un tel Théâtre, en arrivant ici. Il aurait fallu prendre le temps de marcher sous les ramures, et de divaguer sur ces pelouses fignolées par le troupeau des vaches...
En remontant le vallon de la Lauze, un regard à contre-soleil sur le petit ruisseau qui fait croire que le Paradis peut être ici.
En remontant le vallon de la Lauze, un regard à contre-soleil sur le petit ruisseau qui fait croire que le Paradis peut être ici.
Mais je suis venu pour ça... ! ! Parce que je ne savais pas.
Mais je suis venu pour ça... ! ! Parce que je ne savais pas.
Ça, c’est le versant sud de la Plane. Le gros bastion, droit devant, c’est celui de la vire Hélicoïdale. Incroyable !
Ça, c’est le versant sud de la Plane. Le gros bastion, droit devant, c’est celui de la vire Hélicoïdale. Incroyable !
D’un peu plus haut dans le vallon de la Lauze, un regard en arrière permet de comprendre combien ce pâturage est beau, à 1600 mètres d’altitude. la ruine se devine, sur la gauche, sous l’ombre de l’arbre vert.
D’un peu plus haut dans le vallon de la Lauze, un regard en arrière permet de comprendre combien ce pâturage est beau, à 1600 mètres d’altitude. la ruine se devine, sur la gauche, sous l’ombre de l’arbre vert.
D’ici, la vire est indétectable. Par contre, le couloir central se voit très bien, au centre justement. L’itinéraire du jour s’en va sur la gauche, au-delà des éboulis fins.
D’ici, la vire est indétectable. Par contre, le couloir central se voit très bien, au centre justement. L’itinéraire du jour s’en va sur la gauche, au-delà des éboulis fins.
À l’altitude d’environ 1900 m, sur la crête de la Lauze, voilà le point de vue sur le programme du jour. À gauche des 2 éboulis fins, en diagonale montante vers la gauche.
À l’altitude d’environ 1900 m, sur la crête de la Lauze, voilà le point de vue sur le programme du jour. À gauche des 2 éboulis fins, en diagonale montante vers la gauche.
En grossissant la vue : il faudrait couper, en diagonale montante droite-gauche, la barre de falaises. On subodore une trace de bêtes... ???
En grossissant la vue : il faudrait couper, en diagonale montante droite-gauche, la barre de falaises. On subodore une trace de bêtes... ???
Sur la droite en montant, le fameux bastion que la vire permet de frranchir. On ne voit d’ici que la toute fin de la vire, là où elle se raccorde à l’éperon herbeux.
Sur la droite en montant, le fameux bastion que la vire permet de frranchir. On ne voit d’ici que la toute fin de la vire, là où elle se raccorde à l’éperon herbeux.
En dessous, la crête de la Lauze.
En dessous, la crête de la Lauze.
En montant vers la gauche : le pic de Bure. Les pentes raides que l’on voit, sur la droite, sont celles de la crête de Foisse. Infernales !
En montant vers la gauche : le pic de Bure. Les pentes raides que l’on voit, sur la droite, sont celles de la crête de Foisse. Infernales !
On arrive bientôt au passage sérieux. La trace subodorée des bêtes est là devant, blanche et creusée vers le haut....
On arrive bientôt au passage sérieux. La trace subodorée des bêtes est là devant, blanche et creusée vers le haut....
Voilà, c’est ici la trace subodorée... Pas terrible quand on est dessus !
Voilà, c’est ici la trace subodorée... Pas terrible quand on est dessus !
Il faut monter dans les herbes, jusqu’au centre de la photo, puis aller au pied du petit pilier rondouillard et jaunâtre. C’est pas vraiment folichon.
Il faut monter dans les herbes, jusqu’au centre de la photo, puis aller au pied du petit pilier rondouillard et jaunâtre. C’est pas vraiment folichon.
Surtout qu’en dessous, ça va loin...
Surtout qu’en dessous, ça va loin...
Maintenant, je suis arrivé devant le petit pilier rondouillard et jaunâtre. Bon, je lâche l’affaire !
Maintenant, je suis arrivé devant le petit pilier rondouillard et jaunâtre. Bon, je lâche l’affaire !
Traversée vers l’est, en haut du pierrier du vallon de la Lauze, vers la vire Hélicoïdale
Traversée vers l’est, en haut du pierrier du vallon de la Lauze, vers la vire Hélicoïdale
Passage au pied du grand bastion de la falaise inférieure. La couleur orangée du caillou est un peu plus rassurante que celle jaunâtre de tout à l’heure
Passage au pied du grand bastion de la falaise inférieure. La couleur orangée du caillou est un peu plus rassurante que celle jaunâtre de tout à l’heure
À l’ombre du premier auvent de la vire Hélicoïdale : un repos qui fait du bien.
À l’ombre du premier auvent de la vire Hélicoïdale : un repos qui fait du bien.
Le premier arbre de la vire. Quand on pense qu’il vit probablement plus de 300 mètres plus haut que ses congénères, on se demande comment il fait
Le premier arbre de la vire. Quand on pense qu’il vit probablement plus de 300 mètres plus haut que ses congénères, on se demande comment il fait
Au niveau du second arbre, un autre auvent permet un autre petit repos. Il ne faut rien négliger
Au niveau du second arbre, un autre auvent permet un autre petit repos. Il ne faut rien négliger
Beaucoup plus haut : le Trottoir. Tout facile, en montant.
Beaucoup plus haut : le Trottoir. Tout facile, en montant.
Trente mètres après le Trottoir, voici la pente d’herbe à remonter. Vue d’en dessous, la situation paraît difficile........
Trente mètres après le Trottoir, voici la pente d’herbe à remonter. Vue d’en dessous, la situation paraît difficile........
... mais du même endroit, et quand on regarde dessous, on voit que les marches de terre sont vraiment nombreuses, et qu’il n’y a pas de souci à avoir parce que on trouvera les mêmes marches en montant.
... mais du même endroit, et quand on regarde dessous, on voit que les marches de terre sont vraiment nombreuses, et qu’il n’y a pas de souci à avoir parce que on trouvera les mêmes marches en montant.
Au loin, sous les pierriers du pic de Bure, ce replat herbeux, c’est la Fontaine de Bure. Des vaches y passent l’été, là-bas.
Au loin, sous les pierriers du pic de Bure, ce replat herbeux, c’est la Fontaine de Bure. Des vaches y passent l’été, là-bas.
Sur la selle herbeuse après avoir parcouru " l’Autoroute ", il faut monter dans cette pente pour rejoindre le Trou de Barges. C’est sans difficulté. Si, si...
Sur la selle herbeuse après avoir parcouru " l’Autoroute ", il faut monter dans cette pente pour rejoindre le Trou de Barges. C’est sans difficulté. Si, si...
Sur la crête de la Plane, à l’antécime ouest avant le point haut 2340 m.
Sur la crête de la Plane, à l’antécime ouest avant le point haut 2340 m.
À une brèche de la crête de la Plane, voici les contreforts inférieurs du versant sud. La sortie de la vire se fait sur la bosse tout en haut à droite de l’image.
À une brèche de la crête de la Plane, voici les contreforts inférieurs du versant sud. La sortie de la vire se fait sur la bosse tout en haut à droite de l’image.
D’un autre point de vue, on peut apercevoir l’arche de la Tête du Château. Elle est toute petite, vue d’ici
D’un autre point de vue, on peut apercevoir l’arche de la Tête du Château. Elle est toute petite, vue d’ici
La Tête du Château, cette superbe bosse qui inspira le nom de l’arche du jour
La Tête du Château, cette superbe bosse qui inspira le nom de l’arche du jour
L’arche de la Tête du Château, telle que découverte, en arrivant de l’ouest
L’arche de la Tête du Château, telle que découverte, en arrivant de l’ouest
L’arche de la Tête du Château : tracé de sa voûte, afin de la rendre mieux visible
L’arche de la Tête du Château : tracé de sa voûte, afin de la rendre mieux visible
L’arche de la Tête du Château : cliché en format " Portrait "
L’arche de la Tête du Château : cliché en format " Portrait "
L’arche de la Tête du Château : après approche de quelques pas (acrobatiques) de plus
L’arche de la Tête du Château : après approche de quelques pas (acrobatiques) de plus
L’arche de la Tête du Château : vue du côté ’est’, après contournement par le bas
L’arche de la Tête du Château : vue du côté ’est’, après contournement par le bas — Le ciel, qui avait hélas un peu blanchi pendant les quelques minutes passées sur place, a été re-bleui à la main pour rendre le cliché plus agréable. Ce fut la même transformation faite pour la photo du logo.
En trait rouge == le parcours suivi ; Les pointillés rouge == le projet imaginé ; le Point orange == la position de l’arche de la Tête du Château
En trait rouge == le parcours suivi ; Les pointillés rouge == le projet imaginé ; le Point orange == la position de l’arche de la Tête du Château