Col de Pierre Plate (1018m) de Florac (48)

Se garer sur la place de l’ancienne gare de Florac.

Traverser le Pont Eiffel (Pont de la Gare) sur le Tarnon

Remonter toute la Rue Théophile Roussel, traverser l’Esplanade Marceau, puis par la Rue des Enfants, la Rue des Cantons, la Rue du Tour de l’Église, atteindre la D16 devant le cimetière.

Tourner à gauche et dans le virage s’engager sur le sentier qui part à gauche.

Le sentier va couper 5 fois la D16. (Sur la carte IGN il ne la coupe que 3 fois. Là où il devrait la couper une quatrième fois, l’itinéraire indiqué sur la carte, suit la D16. Peut-être est-ce pour éviter à certaines personnes un surplomb de 5 - 6 mètres à ras du talus sur une longueur de 30 m au-dessus de la route).

Après avoir débouché une 5^e et dernière fois sur la D16,(alt 964 m) emprunter en face une petite route qui part à droite vers le Causse, la suivre sur 70 m, retrouver à gauche le sentier (Cairn) et rejoindre rapidement le Col de Pierre Plate (Alt 1018m) et son Dolmen

Ici partir à droite sur le GRP "Tour du Causse Méjean" et au bout de 1,2 km quitter le GRP pour rejoindre par une piste la petite route précédemment citée (Alt 1029 m).

Tourner à droite pour revenir ainsi sur la D16.

Descendre la D16 sur 270 m et prendre un sentier à gauche (Il n’y a plus de panneau, il ne reste que le poteau).

Après un certain nombre de virages déboucher sur une piste (Alt 804 m) qu’on suivra vers la droite.

Rejoindre une petite route goudronnée et descendre au Château de Gralhon (Alt 719 m).

Arrivé devant le portail du château, emprunter le sentier à droite, passer devant une sorte de grotte aménagée et fermée, dans laquelle coule une source dans un bassin.

Continuer à descendre pour rejoindre Florac.

Notre Sortie

Avant tout, parlons Météo.

Séjour de 9 jours et sept jours et demi de grosses pluies. C’est un Épisode Cévenol m’a t’on dit. En fait le 7^e depuis janvier, m’a t’on affirmé et compte tenu du visage des commerçants et autres dépendants du tourisme, je suis prêt à le croire.

Moi, je croyais savoir que les Épisodes Cévenols c’est un ou deux en début de l’automne et ça ne dure que 24 à 72 heures.

Mais ça c’est sans doute quand je ne suis pas là,

Ceci dit, le Phénomène Cévenol manquait à ma culture générale, mais pas de souci, là, j’ai eu un bon cours de rattrapage.

Et ici, je remercie la Lozère qui met tout en œuvre pour parfaire mon expérience en phénomènes météorologiques : un ouragan l’année dernière et un maxi Épisode Cévenol d’entrée cette année.

Ce matin du 3 mai le ciel était majoritairement bleu avec quelques traînées blanches et l’atmosphère limpide. Un peu trop limpide.

Du coup, on décide de profiter de cette situation météo en montant casser la croûte sur le Causse Méjean par un sentier déjà parcouru il y a quelques années.

Montée tranquille dans une atmosphère printanière aux mille senteurs, éclairée par un soleil généreux. Cette douce chaleur faisait du bien après toute cette eau.

Arrivés au col qu’elle n’a pas été notre déception en voyant que l’accès au belvédère est interdite par des barbelés et un portail cadenassé.

Du coup, nous avons emprunté le GRP "Tour du Causse Méjean" pour aller s’installer manger dans la garrigue environ un kilomètre plus loin.

Petit à petit, le ciel s’est encombré d’une bonne couche de nuages dont les teintes ne présageait rien de bon.

La descente s’est faite d’une façon très agréable au milieu de pins et de toute sorte d’arbustes, sur un sol où pousse de nombreux pieds de lavande sauvage.

Passé le Château de Gralhon, dans le ciel il n’y avait plus une seule trouée bleue, le vent s’est levé et la pluie s’est mise à tomber.