Sortie du 4 juillet 2024 par BA42 Chambœuf, Chemin des crêtes

Encore une journée où les nuages seront plus nombreux que les éclaircies. Le genre de journées qui permettent de redécouvrir certaines balades dans les communes voisines de Saint-Héand. Pas de grand beau temps donc, mais pas de canicule non plus.

Après une matinée bien grise, de timide éclaircies arrivent. Départ de Chambœuf quelques minutes avant midi.

Les rosiers sont omniprésents. Le "gros" de la floraison est en juin, j’aurais dû y penser plus tôt... Mais il y a de beaux restes...

Belle éclaircie sur le 1er plateau, les blés mûurs étalent leur belle couleur dorée. Cela ne va pas durer très longtemps, les moissons ont commencé dans la plaine, mais aussi sur quelques parcelles bien exposées dans les collines.

Casse-croûte vers 12 h 45 au belvédère sur la plaine et les monts du Forez. Monts très brumeux. Pierre-sur-Haute à la tête dans les nuages, elle sortira un peu plus tard.

Petite séance photo au bord du Volvon, j’ai emmené le trépied pour tenter quelques filés...

Belle éclaircie sur le 2^e plateau, jusqu’à Vinoy.

Ensuite, descente d’un petit vallon dans lequel ruisseau et chemin se confondent. C’est bien plus un ruisseau qu’un chemin...
Jamais je n’avais vu autant de bourbiers en juillet !

Arrivée au bas de ce petit vallon, à la confluence avec le Vovon. Je ne reconnais plus rien, sauf la passerelle. La végétation à poussé. le sentier large est devenu étroit, la petite clairière herbue est envahie par de hautes herbes. Avant la passerelle, de gros bourbier sont délicats à franchir.

Nuages et éclaircies sur le 3^e plateau, puis descente dans le val de Coise et remontée au Village.

Visite du petit parc du village, la Coulée verte, un espace de deux hectares avec sentiers aménagés. Certains secteurs sont aménagé et d’autres laissés en l’état. Ce serait pas mal si...

Je croise une dame avec un chien non tenu en laisse. Arrivé à ma hauteur, la bête se met à courir. Mordu deux fois depuis le 1er janvier, je flaire le mauvais coup et retire ma jambe avant que les crocs ne se referment dessus. Je m’en tire avec une égratignure sans gravité.
Le sourire de la propriétaire du chien me met hors de moi. Je lui dis ce que je pense, elle devient toute rouge et se sauve penaude.

Troisième agression cette année. Je n’avais de bâtons, je n’ai pas regardé l’animal dans les yeux, je n’ai pas changé mon allure de marche.
J’en ai vraiment "ras le bol" de cette race de lâches qui attaquent par derrière.

Fin de la balade de 13,5 km à 17 h.

Demain première journée de "beau" temps depuis des semaines et des semaines. J’irais dans un coin isolé, sans ces gens qui ont des chiens qu’ils sont incompétents à maitriser...