Sortie du 6 décembre 2020 par Jérémy Le Pilat

Merci Michel pour ce billet plein de raison.

Tu écris bien Michel... Et je vois que nous sommes tous nerveux... Rien d’anormal, le confinement fait son travail de sape....
Existerait il un lien entre les amooureux de la montagne et l’homme révolté ?
Je vous laisse sur cette réflexion... Pour préparer ma sortie de semaine. Et pourquoi pas le cret de la neige en ski de randonnée ?

"content d’avoir réussi à désobéir". Ca au moins c’est drôle ! Mais, ça n’a rien à voir avoir le besoin de nature ou le fait de ne pas participer à la transmission du virus.
Quant aux vertus libératoires de l’orage intestinal de Forêt-myrtilles-et-caillasses, chacun exerce son libre-arbitre dans son domaine de prédilection ! Personnellement, je me contenterais de peu : ne pas voir ma grand-mère, car je tiens à elle.

L’état de "démocratie sanitaire" dans laquelle nous nous trouvons est inédite, parfois absurde et nous interroge (aussi) sur notre rapport à la liberté. Pour moi, aller s’entasser dans un magasin n’est pas essentiel, prier des idoles dans une église non plus... Aller se balader présente moins de risque et, est vital (pour ma santé physique et mentale) mais voilà, mes considérations importent peu au gouvernement.
Je plains les soignants (j’en ai dans ma famille), ils nous renvoient à nos égoïsmes, je plains les jeunes qui n’ont pas de boulot à cause de cette situation et qui vivent au rabais... certains se suicident aussi ! Pourquoi vouloir les départager ? Vous pouvez tout simplement avoir raison à votre manière !
Ce qu’on a besoin, c’est d’humilité et de nuance. Gardez votre énergie pour les combats à venir, et je crains que la défense de nos libertés soit un combat sans fin.
Au final, je dirais qu’un avenir viable passe par une politique plus sociale (en amont) plus respectueuse de l’environnement (origine probable du virus) et, en évitant l’écueil du ressentiment alimenté par certaines idéologies nauséeuses.
"L’absurde, c’est la raison lucide qui constate ses limites."
Albert Camus.

Que vous alliez où vous le souhaitez, que vous dépassiez km ou heure, personnellement je m’en balance.

Ce qui me dérange c’est que vous le claironniez haut et fort alors que d’autres aimeraient profiter d’un instant de détente. Avec qqs soignant dans votre entourage votre vision serait peut être moins égoïste.

Franchement, Joëlle, je ne comprends pas ta réflexion.
Le Pilat est à 15 km de Saint-Etienne donc en accès libre pour les stéphanois. Et ils en profitent !
Le fait de venir d’un peu plus loin, d’y rester plus que 3h00 pourrait avoir un impact sur le personnel soignant ?
Un peu de discernement !
Si 3^e vague il y a (et il y aura), elle viendra des magasins, et des fêtes de fin d’année.
Pas d’une balade dans le Pilat.
Le ciel est clair ce matin, j’hésite à sortir. En ce moment les chasseurs semblent pris de frénésie.
Dans la nature, ce sont eux qui sont dangereux. Pas le virus...

"gloriole stupide"....Pffff... Gali... pète un bon coup et détend toi un peu. Jérémy était juste tout content d’avoir réussi à désobéir pour aller sainement patauger dans la neige et s’en mettre plein les mirettes. Et puis quel rapport avec les-soignants-qui-galèrent ? Faudrait que tout le monde morfle par solidarité ? Bof bof...

Toi aussi tu devrais désobéir et t’offrir une vraie journée en montagne. Peut être que tu retrouverais le sourire et arrêterait de râler à chacune de tes interventions.

Tout le monde aspire à un maximum de liberté, parfois illusoire, à commencer par les soignants qui galèrent dans les hôpitaux, les ehpad, et souhaiteraient une pause réparatrice leur jour de congé.

Votre gloriole stupide est franchement déplacée.

Tu as bien raison et je pense que tu prenais beaucoup moins de risques que dans les boutiques ! Bravo 👏

Superbe, on sent bien l’hiver !

Bonjour camarade délinquant...
J’y étais la veille...
Je crois, je me trompe peut-être, que les gendarmes étaient moins présents dans la nature pour ce 2d confinement. Je ne les ai jamais vus.
Dans la nature les gens m’ont semblé plus raisonnables que dans les villes et villages.
Vivement le 15...