Pic Ségure (2990m)
- Randonnée
- Queyras / Hautes-Alpes / Ristolas
- Difficulté :
- Difficile
- Dénivelé :
- 1300m
- Durée :
- 6h
Dominant la Haute Vallée du Guil, Le Pic Ségure est un joli belvédère sur les Alpes. Il contraste par son aspect rocheux, avec son voisin, plus haut et plus arrondi, le Sparveyre. – Auteur : ThF
Accès
De Guillestre ou de Briançon par le col de l’Izoard, prendre la direction d’Aiguilles puis de Ristolas.
Traverser le Guil par le premier pont (en bois), poursuivre tout droit et se diriger vers le parking proche du torrent de Ségure.
Précisions sur la difficulté
T3/T4
Quelques pas exposés sans réelle difficulté, terrain un peu glissant par endroits recommandant vigilance.
Nécessité de "mettre les mains".
Sens de l’orientation.
Batons utiles.
Photos
Les infos essentielles
- Cartes : IGN 3637 OT Mont Viso
- Altitude départ : 1645m
- Altitude arrivée : 2990m
- Durée : 6h
- Distance : 17 km environ
- Période : mai à novembre, compte tenu du terrain je pense que l’on peut accéder l’hiver jusqu’aux lacs en raquettes.
- Fréquentation : fréquenté sur l’itinéraire jusqu’aux lacs, mais ascension solitaire
- Balisage : Piste et sentier bien marqués jusqu’aux lacs, puis hors sentier montée à vue, présence de quelques cairns mais erratiques.
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Itinéraire
Du parking du Torrent de Ségure (balise), prendre la direction des Lacs Lacroix.
On débute par une piste relativement longue mais qui met en jambes. On poursuit rive droite du torrent.
Ensuite au Plan de l’Alp (2170m), on quitte la piste pour un sentier nous menant aux Lacs Lacroix.
Le sentier surplombe la Bergerie homonyme que l’on a laissée à droite.
Après le premier Lac Lacroix, poursuivre vers le second et ensuite poursuivre à gauche en direction du Vallon de la Platiole.
On continue alors hors balisage, on s’élève (ça devient raide) dans les alpages puis dans des éboulis avec pour point de mire l’antécime du Pic de Ségure, que l’on ne découvre que tardivement.
A 2550m, on retrouve des cairns nous conduisant au sommet mais que j’ai perdus rapidement (y-avait-il un autre accès ?).
Je suis monté à gauche de l’antécime jusqu’à un petit col .
La montée au col se fait dans des éboulis glissants et raides, avec présence de rochers qui permettent parfois de s’aider. Il existe deux petits ressauts qu’il faut garder en mémoire pour la descente.
Du col j’ai poursuivi à gauche vers le sommet.
Retour par le même itinéraire.
Auteur : ThF
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