Inventaire 20 - Beaux Textes

La photo du jour est de Sylvain, lors de la montée au Pic d’Étang Faury.
altituderando.com/Pic-d-E...


Trois remarques préalables :

  • L’organisation de la liste ci-dessous est faite suivant la date à laquelle la sortie a été effectuée : les sorties les plus anciennes sont en début, et les plus récentes sont en fin de liste. Ceci permet d’avoir un point de repère pour s’y retrouver plus aisément.
  • Dans cet article n°20, l’inventaire a été centré sur l’année 2017 de façon non exhaustive évidemment. Toutefois – il faut le remarquer, et s’en féliciter – les productions de 2024 sont également nombreuses !
  • Les mots qui sont placés « entre guillemets et en italique » sont ceux-là même des auteurs, et qui sont repris dans le texte d’introduction.

NB : les autres inventaires peuvent se retrouver en allant :

  • sur la page d’accueil,
  • dans le menu principal « Rando »,
  • et dans le sous-menu « Sélection des beaux textes ».

Deux attentions, à l’occasion du vingtième numéro de cet inventaire

Certains lieux de montagne sont source de ressentis si puissants, de ferveur si profonde, et d’émotions si pures, que l’on est transporté par les récits qui en sont faits.
Dans cet inventaire n°20, ce sont les cas de Céüse, des Hauts-Plateaux du Vercors, ou bien du Mailhebiau, ou encore les cas de l’Obiou et de la Grande Lance de Domène.
Mais ce furent également d’autres lieux, dans les pages précédentes de cette recherche des Beaux Textes d’Altituderando.
Il est bien possible que ces ressentis, cette ferveur, ces émotions soient ce que l’on nomme les marques de l’Amour…

C’est pourquoi les auteurs de ces paragraphes doivent être remerciés chaleureusement d’avoir accepté de nous en faire partager les moments intenses et précieux.

Un vif remerciement est à transmettre aussi à Vincent et Julien pour avoir mis en place cette structure collective, et disponible, qu’est Altituderando afin que ces émotions ne soient pas perdues dans le maëlstrom du temps qui fuit, faute d’avoir pu être écrites avant que d’être amoindries, ou pire d’être oubliées.

Liste :

  • Le récit à venir est empli de joie, d’enthousiasme – presque d’exaltation – et s’appuie sur les souvenirs imprimés dans la mémoire pure et vierge de l’enfance.
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    Ozenn - 17 décembre 2015
  • Voici un texte fort, dû à la structure symétrique des six paragraphes qui le composent, d’une part ; et d’autre part du fait de la poésie profonde dont il nous pénètre.
    Une fois encore, ce sont les Hauts-Plateaux du Vercors qui œuvrent ici.
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    gegers - 30 octobre 2016
  • Le calme, la sérénité, la maîtrise des circonstances de cette randonnée, la délectation des paysages magnifiques offerts en fin de journée, voici ce que ces lignes nous donnent à profiter.
    La montagne pour le plaisir…
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    Pascal - 7 avril 2017
  • Voici une création originale, où la bonne humeur le dispute à l’élégance.
    On croirait se lasser, mais il n’en est rien…
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    jump38 - 12 octobre 2017
  • Une colline … ?!
    Serait-on là en présence d’un élan amoureux ???
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    gegers - 19 novembre 2017
  • L’histoire est si bien racontée, de façon si fluide, qu’on arrive « au sommet » sans aucune fatigue ; comme si cette longue montée sur le Dévoluy n’avait rien de difficile.
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    CourtePatte - 29 juillet 2019
  • Dans ce topo, le côté émouvant à déguster, c’est le poème.
    Un poème qui raconte une montagne, avec des phrases et des mots dans lesquels la rencontre insatiable avec ces lieux flue et reflue, comme le font les vagues sur le sable fin d’une plage.
    Cette montagne : c’est le Mailhebiau.
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    Jean-David - 10 mai 2024
  • Un style simple, parfois presque laconique, mais où l’intérêt pour la faune aviaire retient le lecteur jusqu’à la fin.
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    BA42 - 19 juin 2024
  • Si la randonnée est souvent pratiquée en solitaire, elle l’est aussi beaucoup en famille.
    Voici – là – une partition écrite à trois !
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    roycla - 11 juillet 2024
  • Un lyrisme dosé juste ce qu’il faut, nous raconte la montagne dans ce qu’elle a de plus beau.
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    jean331 - 22 août 2024
  • Les années passent, mais l’admiration reste.
    Ces quelques lignes nous en font prendre conscience merveilleusement.
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    Yann - 24 août 2024
  • Voici un texte simple, beau, qui porte beaucoup d’émotions, et dont la franchise entre-ouvre les portes de l’intime.
    Peu de montagnes sont à même de provoquer de telles réactions.
    L’Obiou est l’une d’elles.
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    JM - 29 août 2024