Boucle autour du Viso et du Pain de Sucre - 6 jours

Difficulté :
Difficile
Dénivelé :
4950m
Durée :
3 jours et plus

Un très bel itinéraire de 6 jours dans le massif du Queyras autour du Viso et du Pain de Sucre. Il ne s'agit ni du Tour du Viso ni du Tour du Pain de Sucre mais plutôt d'un mix entre les deux ! Au programme, des sommets, des vues magnifiques, des passages techniques, de nombreux lacs et du dénivelé ! – Auteur :

Accès

Passer par Molines en Queyras en direction du col Agnel et se garer au niveau du dernier lacet avant le col.

Précisions sur la difficulté

Effectué tel que présenté, l’itinéraire peut être considéré comme difficile, principalement parce qu’il comporte des passages techniques, notamment un très technique au niveau du Pas des Sagnettes effectué sans équipement de via ferrata mais où l’équipement est recommandé.

Le col du couloir du Porc est aussi très aérien et peut impressionner. Il y a aussi quelques portions de hors sentier, mais rien de méchant. En dehors de ça, la difficulté vient surtout du dénivelé. Il est également possible d’adapter l’itinéraire en fonction de votre niveau ou même le raccourcir si vous le souhaitez.

Certaines étapes sont volontairement déséquilibrées (les 2 premières notamment), car l’itinéraire a été pensé pour bivouaquer à des endroits spécifiques, il peut aussi être rééquilibré pour éviter d’avoir des étapes trop longues.

À noter que nous avons effectué ce tour début octobre et que nous avons terminé une des étapes dans la nuit (la descente du Sentiero Ezio Nicoli après les lacs de Forcioline) car nous nous sommes fait surprendre par la "via ferrata" du Pas des Sagnettes. En été lorsque les journées sont plus longues ça doit passer mais attention donc à la longueur de certaines étapes.

Les infos essentielles

  • Carte IGN : Top 25 3637OT (Mont Viso St Véran Aiguilles PNR du Queyras) et IGC106 de Turin MonViso Sampeyre Bobbio Pellice au 1/25ieme
  • Altitude minimale : 1750 m
  • Altitude maximale : 3210 m
  • Distance : environ 68 km
  • Horaires : comptez entre 5 et 6 jours
  • Balisage : varié, en France balisage GR (rouge blanc) ou jaune voire rouge et variable en Italie aussi
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Itinéraire

Jour 1 : Col Agnel - Sommet du Pain de Sucre

  • Distance : 1,6 km
  • Dénivelé positif : 450 m
  • Bivouac au sommet du Pain de Sucre

Notre périple débute juste sous le col Agnel (2 744m). Nous partons assez tard (18h30 le temps de se préparer) et le soleil commence déjà à se coucher. Nous nous mettons en marche pour le sommet du Pain de Sucre (3 208m). Le sentier est cairné et assez évident au début. Sur la 2e partie les pierres sont parfois plus instables et le chemin moins évident mais grâce aux cairns et à quelques marques on arrive à se débrouiller.

À noter que nous avons terminé le dernier tiers de l’ascension dans la nuit à la frontale donc c’était forcément moins aisé qu’en plein jour.
Nous avons atteint un premier bivouac que nous avons pensé être celui du sommet mais en réalité le bivouac principal du sommet, le plus "confort" (car il y a plus de place et il est beaucoup mieux abrité) est un peu plus loin, au bout d’une crête un peu aérienne (que nous n’aurions pas aimé franchir de nuit).

  • Si comme nous, vous souhaitez dormir au sommet du Pain de Sucre, choisissez une nuit où la météo est certaine, où la visibilité est bonne et où le vent n’est pas trop fort. Ne pas oublier que le sommet est à 3200m et que malgré le bivouac de fortune il est très exposé au vent. On ne peut bien sûr pas planter de tente en haut, donc attention aux températures !

Jour 2 : Sommet du Pain de Sucre - Pic Foréant par le Col Vieux

  • Distance : 6 km
  • Dénivelé positif : 450 m
  • Dénivelé négatif : 600 m
  • Bivouac juste de dessous du Pic Foréant

Le matin, nous repartons au début par le "chemin" par lequel nous sommes arrivés puis nous en suivons ensuite un autre qui part plus à droite et qui est matérialisé par des marques rouges, en direction du col Vieux (2 806m). Une fois au col nous rejoignons le GR et nous descendons jusqu’au lac Foréant.

Une fois le lac passé nous poursuivons encore quelques centaines de mètres sur le GR jusqu’à rencontrer sur la gauche le lit d’un torrent asséché (indiqué sur la carte IGN). À noter que ce "chemin" n’est pas matérialisé sur l’IGN mais il l’est sur l’open topo map. Malgré ça, le fameux "chemin" n’existe pas vraiment, il vaut mieux un GPS pour s’orienter et prendre au moins raide d’abord en suivant le lit de la rivière asséchée puis dans les pentes herbeuses. De cette façon on atteint d’abord le premier des Lacs de l’Eychassier sur sa rive droite puis on poursuit dans les pentes herbeuses jusqu’à retrouver un chemin peu marqué qui nous mènera jusqu’au plus grand des Lacs de l’Eychassier.

De là c’est un peu plus évident, nous suivons le chemin à gauche qui passe devant le lac en direction du col de L’Eychassier (2 917 m). Puis en continuant à monter sur ce même chemin, nous atteignons la crête. On suit l’arête sur le chemin marqué, d’abord large puis un peu plus aérienne et minérale, et enfin devenant large et herbeuse à nouveau. Avant d’arriver au Pic Foréant, nous avons trouvé un espace herbeux plat sur la crête où nous avons posé notre tente, juste en face du Viso et du Pain de Sucre.

Le Pic Foréant (3081 m) s’atteint ensuite facilement. De là, la vue à 360° avec le Viso et le Pain de Sucre en ligne de mire est vraiment magnifique !

Jour 3 : Pic Foréant - Lac Porcieroles

  • Distance : 20 km
  • Dénivelé positif : 950 m
  • Dénivelé négatif : 1350 m
  • Bivouac au bord du lac Porcieroles

Une grosse étape en distance, mais pas si importante que ça en dénivelé positif, nous attend pour le 3e jour.

Après avoir levé le camp, nous repassons près du Pic Foréant pour entamer la descente, qui sera d’ailleurs la thématique maîtresse de la première partie de la journée.

Au début il faudra suivre la ligne de crête qui descend en direction des lacs de l’Eychassier. Nous passons à côté du plus petit lac où nous finissons par récupérer le chemin par lequel nous étions arrivées la veille. Nous continuons sur ce "chemin" qui n’en est pas vraiment un jusqu’à récupérer le sentier du GR58. Arrivé sur le sentier du GR58, nous prenons à gauche, au nord donc et marchons jusqu’au lac Egorgéou et y faisons une pause.

À noter d’ailleurs qu’une grande partie des rives de ce lac est interdite aux randonneurs pour préserver la biodiversité du site.

Nous entamons ensuite la longue et évidente descente vers le lieu-dit de l’Echalp en suivant le GR58. Le sentier est plutôt agréable et dans les sous-bois. Il longe pendant un moment le Torrent de Bouchouse sur sa gauche.

Nous suivons donc le GR58 jusqu’au parking peu avant le lieu-dit de l’Echalp. De là, nous faisons quasiment demi-tour, en prenant au sud un chemin gravillonné et plat qui longe le Guil. Nous dépassons la Roche Ecroulée puis nous nous retrouvons sur un sentier qui monte à travers les bois et qui passe une première fois la rivière pour atteindre le Petit Belvédère du Viso.

Après avoir passé un second pont, nous retrouvons un chemin carrossable que nous suivrons quasiment complètement jusqu’au Grand Belvédère du Viso (en fait, on peut choisir d’atteindre le Belvédère en continuant à suivre la route ou en coupant sur la droite par un sentier balisé, ce que nous avons fait).

À partir de là, nous laissons le sentier qui part vers le Nord dans le creux de la vallée pour entamer la rude montée vers le refuge du Viso en suivant le GRP Tour du Pain de Sucre.

Au prix d’environ 350 mètres de dénivelé, nous atteignons le Refuge du Viso (2 430m) puis une fois le refuge passé, nous quittons le sentier principal qui se dirige vers le col de Valante pour aller un peu plus à l’est sur un plus petit sentier peu marqué mais balisé par des traces jaunes en direction du Col du Couloir du Porc. La montée, douce au début devient un peu plus raide. Le sentier est toujours peu visible mais en suivant les marques jaunes c’est assez évident et nous atteignons assez vite le lac de Porcieroles où nous passerons la nuit.

À l’origine nous avions prévu de passer le Col du Couloir du Porc le même jour mais l’horaire tardif et la fatigue nous ont décidés à réserver cette entreprise au lendemain.

Jour 4 : Lac Porcieroles - Gias d’Ajaut

  • Distance : 15 km
  • Dénivelé positif : 1100 m
  • Dénivelé négatif : 1700 m
  • Bivouac au bord du Torrent Vallanta peu avant le Gias d’Ajaut

Nous ne le savions pas en levant le camp mais le jour 4 a certainement été le jour le plus éprouvant de notre périple !

Nous partons tôt le matin en direction de l’Italie par ce fameux col du Couloir du Porc. Du lac, ça paraît peu engageant, raide et en plein dans un pierrier. Dans la réalité c’est effectivement raide et assez exposé mais moins pire que ce que nous pensions (attention tout de même si vous êtes sujet au vertige, il ne vaut mieux pas se louper à certains endroits). C’est toujours bien balisé avec les fameuses marques jaunes.

Nous atteignons assez rapidement le col et ensuite c’est la descente vers le refuge Giacoletti. La descente pour le coup nous aura donné plus de fil à retordre. Le panneau en haut indique 20 minutes pour le refuge Giacoletti... Et bien nous mettrons à peu près 1 heure ! C’est en fait une descente très exposée où il faut sans cesse s’aider des chaines et faire très attention. Avec les sacs très lourds que nous avons, l’erreur n’est pas permise ! D’ailleurs, nous croisons des randonneurs encordés dans le sens inverse.

Nous passons sans encombre le refuge Giacoletti et prenons au sud-est en direction du refuge Quintino Sella. Nous apercevons rapidement les lacs : Lago Superiore, Lago Fiorenza puis le Lago Losetto que nous contournons par l’est. Le dernier lac que nous passons est le Lago Chiaretto que nous avons contourné par l’est mais que nous vous recommandons plutôt de contourner par l’ouest pour rester plus ou moins à niveau et vous éviter une remontée assez pénible (sauf si vous souhaitez faire une pause au bord du lac).

Après une partie de lacets assez raides, on rejoint un immense pierrier bien balisé. L’ambiance, après les lacs, change vraiment du tout au tout ! C’est un univers très minéral, presque lunaire. On quitte le pierrier puis on atteint facilement le refuge Quintino Sella après une courte descente.

Et après, c’est là que ça se corse !

Notre objectif était de passer dans la vallée voisine par le Passo del Sagnette (2 990m). Pour cela nous partons au sud après le refuge, puis à l’intersection avec le chemin qui continue au sud dans la vallée, nous dévions vers l’ouest et nous nous élevons en direction de ce fameux pas. Nous croisons dans le sens inverse des italiens avec casques et baudriers et nous commençons à nous interroger.

Plus loin, une pancarte sur le rocher indique en italien la "Via Ferrata du Pas des Sagnettes". Grave erreur, nous n’avions pas suffisamment étudié la carte et les topos et avions "loupé" ce petit détail. Par chance, je capte et je fais quelques recherche sur internet pour savoir à quoi ressemble cette via ferrata. Je lis plusieurs topo français qui expliquent que "ça passe" sans équipement avec le pied un peu montagnard. Nous décidons de tenter le coup.

Le début est très facile bien qu’exposé, il n’y a pas vraiment d’escalade. Nous croisons un groupe d’italiens qui nous disent que ça se complique ensuite. Nous continuons. La seconde partie est effectivement plus grimpante et bien exposée mais il y a de nombreuses chaines pour s’aider. Nous croisons un couple de français (également sans équipement) qui nous rassurent en nous disant que nous sommes presque arrivées en haut. De leur côté, ils venaient de faire le Viso sans équipement... Un dernier effort et c’est le sommet ! Finalement ce n’était pas si dur que ça !
La difficulté principale vient en fait du poids des sacs, mais sinon avec tout l’équipement en place et un pied sûr, c’est faisable en faisant attention !

À partir de là, nous pensions vraiment qu’il nous restait plus qu’une longue descente tranquille... Et bien absolument pas !

Nous descendons prudemment dans le pierrier par le sentiero Ezio Nicoli (il n’y a pas vraiment de sentier en réalité, mais quelques marques par ci par là), c’est assez paumatoire, il vaut finalement mieux trouver un cap et le garder. Au bout d’un moment nous atteignons le Lago Superiore delle Forciolline et le Bivacco Boarelli. Nous continuons sur le sentier, à présent plus évident vers l’est et passons quelques passages un peu plus difficiles où il faut s’aider de câbles et de chaines.
Il est déjà bien tard et décidons de manger avant d’attaquer la descente. Nous savons déjà que nous allions devoir la faire en partie de nuit vu l’horaire mais nous tenons à aller tout en bas pour nous avancer un maximum en prévision de la journée du lendemain qui s’annonce elle aussi éprouvante.

Nous attaquons donc la descente sur ce fameux sentier Ezio Nicoli. Une descente tout bonnement infâme, du moins de nuit (la journée, la vue doit être très belle j’imagine...). C’est un mélange de pierrier, d’éboulis raides et parfois exposés où il est difficile (à fortiori la nuit et avec une frontale qui ne fonctionne plus) de trouver son chemin. Le "chemin" est marqué par des traces blanches et serpente, tantôt à gauche, tantôt à droite de la rivière. À plusieurs reprises il faut également s’aider de chaînes pour descendre.

Au bout d’un certain temps (qui a paru interminable tant nous étions lentes sur ce terrain), nous retrouvons un chemin plus marqué, beaucoup moins raide et plus agréable dans l’herbe, puis dans la forêt et enfin nous atteignons la jonction entre le sentier Ezio Nicoli et le chemin principal que nous prendrons le lendemain.
Nous n’allons pas plus loin (il est 21h30 !) et plantons la tente près du torrent Vallanta.

Jour 5 : Gias d’Ajaut - Lac Blanchet supérieur par le Colle Losetta et le Col de St Véran

  • Distance : 18 km
  • Dénivelé positif : 1700 m
  • Dénivelé négatif : 900 m
  • Bivouac au bord du Lac Blanchet supérieur

C’est encore une grosse journée qui nous attend et avec la fatigue accumulée, en particulier celle de la veille, elle s’annonce éprouvante !

Le départ est bucolique et évident, nous atteignons rapidement le hameau de Gias d’Ajaut, et nous traversons le pont en rive droite puis nous montons doucement tout en longeant le torrente Vallanta pendant un bon moment avec une vue de plus en plus belle sur le Viso sur un versant que nous n’avions pas encore eu l’occasion de voir jusqu’à présent. Nous finissons par atteindre un croisement avec un sentier qui part plus à l’est en direction du refuge Vallanta et du lac éponyme. Nous le laissons et continuons de nous élever direction nord-ouest vers le Colle Losetta. Après de nombreux lacets nous atteignons une ancienne caserne puis peu après le Colle Losetta (2 872m).

S’ensuit après une longue mais facile descente dans le creux de la vallée. Nous rencontrons au col et dans le début de la descente un peu de neige fraîchement tombée la veille ce qui rend le chemin un peu glissant mais la suite est facile et plutôt reposante.

À la fin de la descente nous atteignons pour la première fois la route, la vraie, la SP251 qui mène au col Agnel. côté Italie. Nous l’empruntons sur un peu moins d’ un kilomètre puis environ 300 mètres avant le lacet, il faut prendre à gauche dans l’alpage sur un sentier qui part vers l’ouest en direction du col de St Véran. La sente est parfois peu marquée mais le cheminement à travers l’alpage est assez évident.

La montée est régulière mais elle se fait bien sentir (700m de D+ à monter depuis la route tout de même !). Nous sommes encouragées dans l’effort par de sympathiques vaches pendant une grande partie du chemin. Nous nous élevons petit à petit au-dessus de l’alpage et l’ambiance devient plus minérale au fur à mesure que le col s’approche.

Arrivées au col de St Véran (2 843m), nous longeons la crête vers le sud pour récupérer peu après un sentier cairné qui part vers l’ouest en direction des Lacs Blanchet (de mémoire les lacs ne sont pas indiqués sur les panneaux).
Nous atteignons enfin le lac Blanchet Supérieur à temps pour le coucher du soleil. Un spot magnifique avec la Tête des Toillies (3 175m) qui se reflète dans le lac.

Jour 6 : Lac Blanchet supérieur - Col Agnel par le Col de Chamoussière

  • Distance : 6 km
  • Dénivelé positif : 500 m
  • Dénivelé négatif : 500 m

Le dernier jour sera très soft comparé aux précédents ! Normal, il faut aussi compter les 4 heures de voiture pour rentrer !

Nous partons relativement tard de notre bivouac. Nous récupérons le sentier qui descend vers le lac Blanchet Inférieur puis continuons à descendre jusqu’au refuge de la Blanche. Arrivées au refuge nous prenons un sentier qui s’élève au nord est en direction du Col de Chamoussière (2 882m). Jusqu’au col c’est facile, c’est plus ou moins tout droit même si la sente est peu marquée par endroit, le cheminement se devinant facilement car on a rapidement le col en vue.

Arrivées au col, nous apercevons enfin la route qui mène au col Agnel et nous entamons la descente finale. Quelques mètres de dénivelé positif viennent nous surprendre sur la fin pour rejoindre la route puis la voiture... et c’est la fin de ce nouveau périple automnal riche en dénivelé et en rebondissements !

Avertissements et Droits d'auteur

Randonnée réalisée le 3 octobre 2019

Dernière modification : 14 juin 2023

72 membres ont cette randonnée en favori !

Auteur :

Avis et commentaires
( 5 | 1 avis )

Bonjour et merci beaucoup Madahuto
Je n’avais pas vu ton message.
En juin beaucoup de passage au delà de 2500m seront encore sous la neige. Les crampons seront obligatoire et certaines portions difficilement praticables. Prudence.

Madahuto

Milwaukee, tes photos sont magnifiques ! C’est décidé, en juin je fais cet itinéraire !

Merci encore pour vos retours, ça fait plaisir ! Et j’espère que ça donnera envie d’aller découvrir le coin, qui est vraiment superbe !

Domi12

Magnifiques photos !
Bravo !
Domi

Hello,
Les photos sont de "ouf", vraiment fantastique.
Merci pour le partage, et bravo pour ce très beau "tour".
Bonne montagne.
Patrick

WOW !
Vous avez géré les filles, félicitations !
Et pour ne rien gâcher, de magnifiques photos ... Au top !

Lucien CHATELAIN

Superbes photos, cela donne envie Merci

J’ai oublié de répondre à ta question anthony : j’emmène mon reflex avec 2 objectifs : 17-70 pour le paysage et 70-200 pour zoomer sur les détails du paysage et pour les éventuels animaux 🙂 J’emporte aussi mon trépied pour les photos du lever et du coucher du soleil et parfois pour faire un peu de photo de nuit et de la voie lactée notamment.

Merci Vincent !
Je dois avouer que tes topos m’ont pas mal inspirée pour imaginer mes itinéraires, que ce soit celui du Queyras ou celui des Aiguilles du Chambeyron ! Alors merci à toi aussi ! 🙂

Merci anthony et Stef04 pour vos retours également 🙂

Des photos splendides !!!!
Bravo et merci du partage.

Très très belles photos !!!!!!
Avec quoi avez-vous fait les photos ?

Terriblement ambiance !!! Merci Julie pour ces photos de grande classe !!! Cela me replonge dans mes souvenirs de ce tour sublime. Au top, comme d’hab !

On voit souvent de belles photos sur ce site, mais là je reste sans voix, ou plutôt je dirai juste WAOUH ! 😲

Merci

Merci pour ton retour 🙂

Splendides photos !

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